#25 novembre 2022 - Ingrid Storholmen et Guillaume Marie
Contraste littéraire entre deux artistes dont les recueils viennent de paraître.
Chute libre reçoit Ingrid Storholmen pour son livre Tchernobyl, Récits (éd. Lanskine) et Guillaume Marie pour son livre Ça écrit quoi (éd. Lanskine).
Dans Tchernobyl, Récits, Ingrid Storholmen a quitté sa poésie habituelle pour nous livrer un récit poétique polyphonique à la limite de l'étude sociologique, un entremêlement de poignants lambeaux.
« Quand j'avais dix ans, le réacteur n° 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl a explosé. Ce printemps-là, le vent d'est a apporté de grandes quantités de retombées radioactives dans la région du centre de la Norvège où j'ai grandi. Nous étions trois sœurs en train de jouer sous la pluie chargée de césium 137. Mes soeurs ont dû se faire enlever la thyroïde, elles portent à la gorge une cicatrice en forme de bijou."
Approchez votre œil. Collez-le à la lorgnette. Voici le kaléidoscope de Tchernobyl. Hommes, femmes, enfants, babouchkas, adolescents fringants, futures épouses, chiens, esprits, tous vous racontent, à la première personne, l'après-Tchernobyl. Un réacteur, mille vies irradiées, parfois pour le meilleur, quasiment toujours pour le pire.
Guillaume Marie est un garçon souriant mais taciturne, d'ailleurs il est né à Coutances. Il écrit des nouvelles et de la poésie depuis qu'il a douze ans. Il est inspiré par les animaux qu'il croise et les lieux qu'il habite. Dans ses textes, tout est vrai.
Auteur de documentaire, journaliste, expert des nouveaux médias, il présente son dernier recueil publié aux éditions LansKine.
Chute libre reçoit Ingrid Storholmen pour son livre Tchernobyl, Récits (éd. Lanskine) et Guillaume Marie pour son livre Ça écrit quoi (éd. Lanskine).
Dans Tchernobyl, Récits, Ingrid Storholmen a quitté sa poésie habituelle pour nous livrer un récit poétique polyphonique à la limite de l'étude sociologique, un entremêlement de poignants lambeaux.
« Quand j'avais dix ans, le réacteur n° 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl a explosé. Ce printemps-là, le vent d'est a apporté de grandes quantités de retombées radioactives dans la région du centre de la Norvège où j'ai grandi. Nous étions trois sœurs en train de jouer sous la pluie chargée de césium 137. Mes soeurs ont dû se faire enlever la thyroïde, elles portent à la gorge une cicatrice en forme de bijou."
Approchez votre œil. Collez-le à la lorgnette. Voici le kaléidoscope de Tchernobyl. Hommes, femmes, enfants, babouchkas, adolescents fringants, futures épouses, chiens, esprits, tous vous racontent, à la première personne, l'après-Tchernobyl. Un réacteur, mille vies irradiées, parfois pour le meilleur, quasiment toujours pour le pire.
Guillaume Marie est un garçon souriant mais taciturne, d'ailleurs il est né à Coutances. Il écrit des nouvelles et de la poésie depuis qu'il a douze ans. Il est inspiré par les animaux qu'il croise et les lieux qu'il habite. Dans ses textes, tout est vrai.
Auteur de documentaire, journaliste, expert des nouveaux médias, il présente son dernier recueil publié aux éditions LansKine.
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