31.2 - Rêve Coquelicot avec Charlotte 2/2
Porter haut ses couleurs : l'identité visuelle
Je suis ravie de vous retrouver pour la suite de l’interviews de Charlotte 🌺
Aujourd’hui, Charlotte Farkas nous embarque à nouveau sur ses itinéraires buissonniers et fait voler nombre d’injonctions que tout bon entrepreneur a entendu et réentendu 💃
Alors les réseaux sociaux c’est automatique ?
Une étude de marché et trouver son persona, des passages obligés ?
Charlotte nous déculpabilise et nous invite à entreprendre différemment : en allant à notre rythme, en écoutant notre intuition, en portant haut nos couleurs, nos valeurs 🌈
Nous découvrons aussi la renaissance de son entreprise Rêve coquelicot, ainsi que son métier, à la croisée du design graphique, du développement personnel, du coaching et de l'art-thérapie.
Nous parlerons donc bien entendu de création d’identité visuelle, mais surtout... d’ouvrir le champ des possibles 😍
Récap des conseils de Charlotte :
-
«Bien s’entourer, ne pas rester dans l'isolement, car on peut vite tourner en rond et perdre confiance»
-
«On apprend en faisant et en se lançant»
-
C’est normal qu'une entreprise prenne du temps à se mettre en place
-
Ne pas être trop radical dans ses choix : nos besoins évoluent au fil du temps
-
«Vies professionnelle et personnelle ne font qu'une»
-
«J’y suis allée au culot et c’est comme ça que j’ai décroché mon 1er projet»
-
«Pour entendre son intuition : se laisser de l’espace temps. Et donc, s’autoriser à prendre des temps où rien n’est planifié, à prendre des pauses "de rien" qui sont des pauses "de tout"»
-
«Oser suivre ses premières impressions qui sont souvent les bonnes»
-
«Ma meilleure stratégie c’est de ne pas en avoir»
~~~
Les sources citées dans l'épisode dans l'ordre chronologique :
-
La chanson "Fais-le" de Jérémy Frérot
~~~
Vous voulez en savoir plus sur mon invitée ?
https://www.linkedin.com/in/charlottefarkas-revecoquelicot/
https://www.revecoquelicot.com/
~~~
Cet épisode est pour moi très riche en enseignements. Je vous les partage à l'aide de quelques citations (citées dans l'ordre chronologique) :
-
«[entreprenariat] Les premiers réseaux que je découvrais étaient très masculins»
-
«J’avais mon blazer noir pour avoir l’air crédible»
-
«Sortir de ma coquille et élargir ma zone de confort : un vrai challenge car j'ai une nature plutôt introvertie»
-
« J’y suis allée au culot et c’est comme ça que j’ai décroché mon 1er projet»
-
«J’aurais eu besoin d’avoir des modèles d’entreprenariat [avec une approche plus] féminine, sensible et intuitive»
-
«On peut entreprendre différemment, à son rythme»
-
«J'essaye d'être au maximum dans le respect de mon écologie intérieure»
-
«Dans un monde où tout va très vite, j'ai l'impression de nager à contre courant parfois, et ça fait du bien de rencontrer des gens qui me ressemblent et ont cette même sensibilité»
-
«C'est possible de ne pas passer par les réseaux sociaux, et de miser sur la rencontre humaine»
-
«[Linkedin]On peut diffuser des contenus créatifs sur ce réseau, qui laisse plus de place aux mots. Et les posts durent plus dans le temps.»
-
[FOMO : Fear of Missing Out/Peur de rater qc]Je sais que je peux tomber dans le piège de tomber accro à instagram. Je connais mes propres faiblesses, je n'y vais pas pour me protéger»
-
«Créer un "persona" était trop abstrait. Tant que je n’avais pas l’expérience sur le terrain, je n’arrivais pas à faire ces projections»
-
«Aujourd’hui, dès que je vois le mot "urgent", c’est non. Ce sont des choses que je n’accepte plus»
-
«En terme de valeurs, j’ai eu besoin de mieux me connaitre pour savoir quels projets j'avais envie de servir et quelles personnes j’avais envie de mettre en lumière»
-
«De fil en aiguille, j’attire des personnes qui sont sensibles à ma propre sensibilité, qui ont cette part intuitive assez développée, qui sont ouvertes à la cocréation et qui ont envie de s’impliquer dans le processus»
-
«Je ne voulais pas que le nom de mon entreprise traduise mon activité car pour moi c’était trop réducteur. J'avais envie d’ouvrir le champ des possibles, d’inviter à l’imaginaire et de laisser profiler l’expérience que les clients allaient vivre avec moi»
-
«"Rêve coquelicot" m’est apparu comme dans un rêve »
-
«Je veux embarquer dans mon aventure des gens qui me ressemblent et je veux contribuer à un monde différent, à un Nouveau Monde, créatif, libre, haut en couleur»
-
«Le terme designer graphique m’enfermait trop dans la technique, dans l’outil, et aujourd'hui je ne me définis pas que par ça»
-
«Tisseuse de liens : ce sont les rencontres qui me nourrissent et me construisent»
-
«Créer des univers pour susciter l’émotion et ouvrir les cœurs»
-
«Ton identité part de toi et parle de toi»
-
«Le logo et l’identité sont un prétexte pour aborder plein d’autres sujets : posture entrepreneuriale, confiance en soi, audace...»
-
«Tout existe déjà dans la nature, je crois qu’on n’invente rien, que ce soit dans les formes, les couleurs, les matières...»
-
«Déformation de l’entreprenariat : tout ce que je fais doit être rentable. Alors que la créativité doit être gratuite»
-
«Etre entrepreneur, c’est déjà être créatif»
-
«Un monde en couleurs»
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-
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sur mon site internet (depuis lequel tu peux t'abonner à la newsletter)
-
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❤️ Pour soutenir financièrement Le vent d'un Nouveau Monde, il est possible de faire un don ponctuel ou régulier 🙏
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Crédits 🎵
Merci à l'artiste Elemotho de m'avoir donné l'autorisation d'utiliser la musique du début de sa magnifique chanson « Beautiful world »
Je suis ravie de vous retrouver pour la suite de l’interviews de Charlotte 🌺
Aujourd’hui, Charlotte Farkas nous embarque à nouveau sur ses itinéraires buissonniers et fait voler nombre d’injonctions que tout bon entrepreneur a entendu et réentendu 💃
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Une étude de marché et trouver son persona, des passages obligés ?
Charlotte nous déculpabilise et nous invite à entreprendre différemment : en allant à notre rythme, en écoutant notre intuition, en portant haut nos couleurs, nos valeurs 🌈
Nous découvrons aussi la renaissance de son entreprise Rêve coquelicot, ainsi que son métier, à la croisée du design graphique, du développement personnel, du coaching et de l'art-thérapie.
Nous parlerons donc bien entendu de création d’identité visuelle, mais surtout... d’ouvrir le champ des possibles 😍
Récap des conseils de Charlotte :
- «Bien s’entourer, ne pas rester dans l'isolement, car on peut vite tourner en rond et perdre confiance»
- «On apprend en faisant et en se lançant»
- C’est normal qu'une entreprise prenne du temps à se mettre en place
- Ne pas être trop radical dans ses choix : nos besoins évoluent au fil du temps
- «Vies professionnelle et personnelle ne font qu'une»
- «J’y suis allée au culot et c’est comme ça que j’ai décroché mon 1er projet»
- «Pour entendre son intuition : se laisser de l’espace temps. Et donc, s’autoriser à prendre des temps où rien n’est planifié, à prendre des pauses "de rien" qui sont des pauses "de tout"»
- «Oser suivre ses premières impressions qui sont souvent les bonnes»
- «Ma meilleure stratégie c’est de ne pas en avoir»
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Les sources citées dans l'épisode dans l'ordre chronologique :
- La chanson "Fais-le" de Jérémy Frérot
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https://www.linkedin.com/in/charlottefarkas-revecoquelicot/
https://www.revecoquelicot.com/
~~~
Cet épisode est pour moi très riche en enseignements. Je vous les partage à l'aide de quelques citations (citées dans l'ordre chronologique) :
- «[entreprenariat] Les premiers réseaux que je découvrais étaient très masculins»
- «J’avais mon blazer noir pour avoir l’air crédible»
- «Sortir de ma coquille et élargir ma zone de confort : un vrai challenge car j'ai une nature plutôt introvertie»
- « J’y suis allée au culot et c’est comme ça que j’ai décroché mon 1er projet»
- «J’aurais eu besoin d’avoir des modèles d’entreprenariat [avec une approche plus] féminine, sensible et intuitive»
- «On peut entreprendre différemment, à son rythme»
- «J'essaye d'être au maximum dans le respect de mon écologie intérieure»
- «Dans un monde où tout va très vite, j'ai l'impression de nager à contre courant parfois, et ça fait du bien de rencontrer des gens qui me ressemblent et ont cette même sensibilité»
- «C'est possible de ne pas passer par les réseaux sociaux, et de miser sur la rencontre humaine»
- «[Linkedin]On peut diffuser des contenus créatifs sur ce réseau, qui laisse plus de place aux mots. Et les posts durent plus dans le temps.»
- [FOMO : Fear of Missing Out/Peur de rater qc]Je sais que je peux tomber dans le piège de tomber accro à instagram. Je connais mes propres faiblesses, je n'y vais pas pour me protéger»
- «Créer un "persona" était trop abstrait. Tant que je n’avais pas l’expérience sur le terrain, je n’arrivais pas à faire ces projections»
- «Aujourd’hui, dès que je vois le mot "urgent", c’est non. Ce sont des choses que je n’accepte plus»
- «En terme de valeurs, j’ai eu besoin de mieux me connaitre pour savoir quels projets j'avais envie de servir et quelles personnes j’avais envie de mettre en lumière»
- «De fil en aiguille, j’attire des personnes qui sont sensibles à ma propre sensibilité, qui ont cette part intuitive assez développée, qui sont ouvertes à la cocréation et qui ont envie de s’impliquer dans le processus»
- «Je ne voulais pas que le nom de mon entreprise traduise mon activité car pour moi c’était trop réducteur. J'avais envie d’ouvrir le champ des possibles, d’inviter à l’imaginaire et de laisser profiler l’expérience que les clients allaient vivre avec moi»
- «"Rêve coquelicot" m’est apparu comme dans un rêve »
- «Je veux embarquer dans mon aventure des gens qui me ressemblent et je veux contribuer à un monde différent, à un Nouveau Monde, créatif, libre, haut en couleur»
- «Le terme designer graphique m’enfermait trop dans la technique, dans l’outil, et aujourd'hui je ne me définis pas que par ça»
- «Tisseuse de liens : ce sont les rencontres qui me nourrissent et me construisent»
- «Créer des univers pour susciter l’émotion et ouvrir les cœurs»
- «Ton identité part de toi et parle de toi»
- «Le logo et l’identité sont un prétexte pour aborder plein d’autres sujets : posture entrepreneuriale, confiance en soi, audace...»
- «Tout existe déjà dans la nature, je crois qu’on n’invente rien, que ce soit dans les formes, les couleurs, les matières...»
- «Déformation de l’entreprenariat : tout ce que je fais doit être rentable. Alors que la créativité doit être gratuite»
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