#5- Conversation croisée - Bruno Fridlansky

Séquence CanalPsy ...

Une conversation qui tombe à pic, moi qui découvre LinkedIn. J'avais tout faux d'entrée!

1) Je like parce que lire une publication sans laisser un signe, c'est pour moi comme entrer dans la librairie sans dire bonjour, lire une revue et repartir comme je suis venue. Pas cool pour celui qui a publié. Voilà, je like dans un souci de besoin de reconnaissance de celui qui a publié, parceque moi-même, quand je publie quelque chose, j'aurais plaisir à savoir que ça a intéressé quelqu'un. 

2) Je ne laisse aucun commentaire pour ne pas avoir l'air de celle qui a toujours un truc à dire, un jugement à porter ou pour éviter un débat, parfois ne rien dire c'est bien aussi. La crainte de nourrir des gens qui n'attendent que ça, la polémique, ça peut polluer une publication qui se voulait sereine et juste informative.

Alors les conseils de Bruno 👍. Merci 🙏

1) Je vis mieux le fait que personne ne like mes publications 🤣

2) Il a raison, c'est mieux de laisser en commentaire l'émotion suscitée par la publication. Personne ne pourra venir la contredire puisqu'on parle de soi, c'est d'autant + touchant pour l'auteur et c'est davantage reconnaissant qu'un like compulsif, qui ne prouve en rien qu'on a vraiment lu.

3) J'ai expérimenté, ça marche! J'ai osé remercier, annoncé que j'allais partager, énoncer mon émotion, pris le risque d'être "à côté de la plaque" ou de me mêler de ce qui ne me regardait pas ... J'ai déjà appris tout un tas de choses, les gens sont gentils en fait 😁.  Bon je n'ai rien à vendre mais j'ai eu des visites sur mon profil et des demandes à faire partie de mon réseau, d'horizons divers et variés, de gens très sympathiques avec qui à chaque fois j'ai échangé quelques mots et pour certains les parcours sont épatants. 

4) C'est sûrement hors sujet mais n'empêche, les conseils de Bruno, ça permet aussi de "prendre la confiance"!💪

Le retour bienveillant que l'on reçoit suite à nos commentaires légitime notre place dans la communauté, au diable le syndrome de l'imposteur. Des imposteurs qui s'ignorent, c'est pas ça qui manque 🤣

Alors merci Patrick 🙏, tes conversations croisées sont menées de telle manière qu'on a l'impression d'y participer, je me joindrais bien à vous pour le prendre ce café, rien que pour vous regarder parler 👀👂😁.