Alix, étudiante à Sciences Po Paris
" Mon arrivée à Sciences Po Paris a amplifié mon syndrome de l'imposteur."
Polytech, Centrale Sup, Sciences Po... Les grandes écoles se démarquent dans le panorama de l'enseignement français. D'abord parce qu'elles sont particulièrement difficiles d'accès. Concours, examen minutieux du dossier, entretiens sévères... L'enseignement qui y est prodigué se mérite, mais également la réputation de ces institutions. Alix, étudiante en master 1 à Sciences Po Paris, nous raconte aujourd'hui son parcours à travers les différents IEP qu'elle a pu côtoyer, navigant sans problèmes dans une voie que beaucoup qualifieraient de "royale". Alors, d'où lui vient ce sentiment d'imposture qui s'amplifie au fur et à mesure que son parcours, et que la réputation de ses établissements progressent ?
Polytech, Centrale Sup, Sciences Po... Les grandes écoles se démarquent dans le panorama de l'enseignement français. D'abord parce qu'elles sont particulièrement difficiles d'accès. Concours, examen minutieux du dossier, entretiens sévères... L'enseignement qui y est prodigué se mérite, mais également la réputation de ces institutions. Alix, étudiante en master 1 à Sciences Po Paris, nous raconte aujourd'hui son parcours à travers les différents IEP qu'elle a pu côtoyer, navigant sans problèmes dans une voie que beaucoup qualifieraient de "royale". Alors, d'où lui vient ce sentiment d'imposture qui s'amplifie au fur et à mesure que son parcours, et que la réputation de ses établissements progressent ?
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.