
AUTOUR DE MINUIT
Emission autour du jazz
Au programme le nouvel album de François Laudet Big Band "Basie-Nestico Project" (Ahead/Socadisc) en hommage au tromboniste, compositeur et arrangeur Sammy Nestico qui à collaboré avec l'orchestre de Count Basie dans les années 70/80. Né à Paris (France) le 11 novembre 1958
Frère du trompettiste, pianiste et arrangeur Philippe LAUDET (1959).
Le batteur François Laudet découvre le jazz très tôt grâce aux disques de ses parents. Son père Jacques Laudet éditait la revue « Jazz Swing journal». En 1973 il décide de devenir batteur et choisit comme modèles Sonny Payne et Sam Woodyard car adolescent il est déjà fan des orchestres de Count BASIE et Duke ELLINGTON. C’est aussi un grand admirateur de Buddy RICH. Il commence à jouer avec des amis et devient professionnel en 1979 dans l’orchestre du clarinettiste René FRANC au « Slow Club » de Paris.. En 1982 il fonde le « big band » « ORNICAR » et devient par la suite un des batteurs les plus demandés. C’est ainsi qu’il fait partie des formations « Ellingtomania» dirigée par le trompettiste François BIENSAN , « Saxomania » dirigée par le saxophoniste Claude TISSENDIER et la « Super SwingMachine » dirigée par Gérard BADINI. Au cours de ces années, il accompagne de nombreux musiciens tels que le saxophoniste Phil WOODS , le trompettiste Clark TERRY , l’organiste « Wild Bill » DAVIS , les pianistes Monty ALEXANDER et Ray BRYANT, les chanteuses Anita O’ DAY et Dee Dee BRIDGEWATER , le chanteurs Robin McKELLE , le pianiste et chanteur Michel LEGRAND , le saxophoniste Guy LAFITTE , le vibraphoniste Dany DORIZ et le pianiste Claude BOLLING , la chanteuse Nicole CROISILLE. En 1992 il crée son propre « big band » et enregistre six albums. En 1994 il reçoit de l’« Académie du Jazz » le « Prix Sidney Bechet ». En 1997 il réalise un rêve et remplace le temps d’une tournée le batteur Butch Miles au sein du « Count Basie Orchestra » dirigé par le tromboniste Grover MITCHELL. Il joue également dans le « big band » du saxophoniste Michel PASTRE , notamment dans le spectacle « Battle Royal » avec le « Duke Orchestra » de Laurent MIGNARD.
Au programme les séances du Surf Club en 1952 à Los Angeles du quartet du saxophoniste alto Art Pepper avec Hampton Hawes au piano, Joe Mondragon à la contrebasse et Larry Bunker à la batterie. Arthur Edward Pepper, dit Art Pepper, né à Gardena, Californie le 1er septembre 1925 et mort à Los Angeles le 15 juin 1982, est un saxophoniste (alto et ténor) et clarinettiste américain.
Enfant, Art Pepper étudie la clarinette puis le saxophone alto. Il commence sa carrière musicale dans les années 1940 en jouant avec Gus Arnheim, Benny Carter et Lee Young. Il entre ensuite chez Stan Kenton chez qui il reste une année (1943). Après son service militaire il revient dans l'orchestre de Kenton dont il sera membre par épisodes de 1947 à 1952. À cette époque, il crée un quartet et rencontre ses premiers ennuis avec les stupéfiants. Il est condamné à deux ans de prison. À sa sortie (août 1954), il enregistre pour Pacific Jazz Records, Tampa, Pablo Records et Intro avant de commencer une longue collaboration avec Contemporary Records et Lester Koenig. Il devient alors l'un des plus grands représentants du jazz West Coast avec entre autres Chet Baker, Gerry Mulligan ou encore Shelly Manne.
Mais sa vie devient de plus en plus chaotique si bien qu'à partir de 1959, ses séjours à San Quentin et à la prison de Chino se succèdent. En 1966, il est libéré puis chute à nouveau. À sa sortie, il décide d'aller à Synanon pour se désintoxiquer. Il y rencontre sa troisième femme, Laurie. Après trois ans, l'envie de jouer revient.
Il se soigne à la méthadone à partir de 1975, ce qui lui permet de faire un retour et d'enregistrer plusieurs disques remarqués. En 1977, il se produit au Village Vanguard avant une deuxième et triomphale tournée au Japon. Son autobiographie, Straight Life (1980), coécrite avec Laurie, est une exploration singulière du monde du jazz et de la drogue en Californie.
En 1980, avec Winter Moon (Galaxy), il signe l'un des plus beaux disques de jazz avec cordes1.
Sa santé se dégrade et il meurt en 1982 à Los Angeles.
Egalement au programme le pianiste américain Emmet Cohen avec son album "Futur Stride" (Mac Avenue Records)
Pianiste et compositeur americain, Emmet Cohen est l’une des figures marquantes de la scène New Yorkaise. Reconnu par ses pairs pour son « touché mesuré et agile, son vocabulaire harmonique chaleureux » ( Downbeat) ils est également formidablement à l’aise sur scène tissant très rapidement des liens de complicité avec le public et les autres musiciens.
Leader du trio qui porte son nom, Emmet est un pianiste international qui s’est déjà produit dans les plus grands festivals de Jazz ( Newport, Monterey, and North Sea jazz), et joue très régulièrement dans des lieux et clubs très connus comme le Rose Hall and the Kennedy, le Village Vanguard, le Blue Note, le Dizzy’s Club Coca-Cola, le Birdland, le Jazz Standard, le Ronnie Scott’s, le Jazzhaus Montmartre, le Duc des Lombards…
Emmet Cohen est principalement connu pour son travail dans le jazz , bien qu'il ait également étudié la musique savante européenne ( musique classique ) de manière approfondie plus tôt dans sa carrière, et cette influence est apparente dans sa technique, ses « citations » d'improvisation occasionnelles et sa maîtrise technique générale du clavier. [7] Il a joué avec Christian McBride , Herlin Riley , Brian Lynch , Ron Carter , Jimmy Cobb , Albert "Tootie" Heath , Joe Lovano , Eddie Henderson et George Coleman . [8]En tant que chef d'orchestre, Cohen tourne avec son groupe, le "Emmet Cohen Trio", le plus souvent avec ses proches collaborateurs, le bassiste Russell Hall et le batteur Kyle Poole.
Pendant le confinement, il crée Live From Emmet’s Place, un livestream sur YouTube 
hebdomadaire aux millions de vues à travers le monde.
Au programme le nouvel album de François Laudet Big Band "Basie-Nestico Project" (Ahead/Socadisc) en hommage au tromboniste, compositeur et arrangeur Sammy Nestico qui à collaboré avec l'orchestre de Count Basie dans les années 70/80. Né à Paris (France) le 11 novembre 1958
Frère du trompettiste, pianiste et arrangeur Philippe LAUDET (1959).
Le batteur François Laudet découvre le jazz très tôt grâce aux disques de ses parents. Son père Jacques Laudet éditait la revue « Jazz Swing journal». En 1973 il décide de devenir batteur et choisit comme modèles Sonny Payne et Sam Woodyard car adolescent il est déjà fan des orchestres de Count BASIE et Duke ELLINGTON. C’est aussi un grand admirateur de Buddy RICH. Il commence à jouer avec des amis et devient professionnel en 1979 dans l’orchestre du clarinettiste René FRANC au « Slow Club » de Paris.. En 1982 il fonde le « big band » « ORNICAR » et devient par la suite un des batteurs les plus demandés. C’est ainsi qu’il fait partie des formations « Ellingtomania» dirigée par le trompettiste François BIENSAN , « Saxomania » dirigée par le saxophoniste Claude TISSENDIER et la « Super SwingMachine » dirigée par Gérard BADINI. Au cours de ces années, il accompagne de nombreux musiciens tels que le saxophoniste Phil WOODS , le trompettiste Clark TERRY , l’organiste « Wild Bill » DAVIS , les pianistes Monty ALEXANDER et Ray BRYANT, les chanteuses Anita O’ DAY et Dee Dee BRIDGEWATER , le chanteurs Robin McKELLE , le pianiste et chanteur Michel LEGRAND , le saxophoniste Guy LAFITTE , le vibraphoniste Dany DORIZ et le pianiste Claude BOLLING , la chanteuse Nicole CROISILLE. En 1992 il crée son propre « big band » et enregistre six albums. En 1994 il reçoit de l’« Académie du Jazz » le « Prix Sidney Bechet ». En 1997 il réalise un rêve et remplace le temps d’une tournée le batteur Butch Miles au sein du « Count Basie Orchestra » dirigé par le tromboniste Grover MITCHELL. Il joue également dans le « big band » du saxophoniste Michel PASTRE , notamment dans le spectacle « Battle Royal » avec le « Duke Orchestra » de Laurent MIGNARD.
Au programme les séances du Surf Club en 1952 à Los Angeles du quartet du saxophoniste alto Art Pepper avec Hampton Hawes au piano, Joe Mondragon à la contrebasse et Larry Bunker à la batterie. Arthur Edward Pepper, dit Art Pepper, né à Gardena, Californie le 1er septembre 1925 et mort à Los Angeles le 15 juin 1982, est un saxophoniste (alto et ténor) et clarinettiste américain.
Enfant, Art Pepper étudie la clarinette puis le saxophone alto. Il commence sa carrière musicale dans les années 1940 en jouant avec Gus Arnheim, Benny Carter et Lee Young. Il entre ensuite chez Stan Kenton chez qui il reste une année (1943). Après son service militaire il revient dans l'orchestre de Kenton dont il sera membre par épisodes de 1947 à 1952. À cette époque, il crée un quartet et rencontre ses premiers ennuis avec les stupéfiants. Il est condamné à deux ans de prison. À sa sortie (août 1954), il enregistre pour Pacific Jazz Records, Tampa, Pablo Records et Intro avant de commencer une longue collaboration avec Contemporary Records et Lester Koenig. Il devient alors l'un des plus grands représentants du jazz West Coast avec entre autres Chet Baker, Gerry Mulligan ou encore Shelly Manne.
Mais sa vie devient de plus en plus chaotique si bien qu'à partir de 1959, ses séjours à San Quentin et à la prison de Chino se succèdent. En 1966, il est libéré puis chute à nouveau. À sa sortie, il décide d'aller à Synanon pour se désintoxiquer. Il y rencontre sa troisième femme, Laurie. Après trois ans, l'envie de jouer revient.
Il se soigne à la méthadone à partir de 1975, ce qui lui permet de faire un retour et d'enregistrer plusieurs disques remarqués. En 1977, il se produit au Village Vanguard avant une deuxième et triomphale tournée au Japon. Son autobiographie, Straight Life (1980), coécrite avec Laurie, est une exploration singulière du monde du jazz et de la drogue en Californie.
En 1980, avec Winter Moon (Galaxy), il signe l'un des plus beaux disques de jazz avec cordes1.
Sa santé se dégrade et il meurt en 1982 à Los Angeles.
Egalement au programme le pianiste américain Emmet Cohen avec son album "Futur Stride" (Mac Avenue Records)
Pianiste et compositeur americain, Emmet Cohen est l’une des figures marquantes de la scène New Yorkaise. Reconnu par ses pairs pour son « touché mesuré et agile, son vocabulaire harmonique chaleureux » ( Downbeat) ils est également formidablement à l’aise sur scène tissant très rapidement des liens de complicité avec le public et les autres musiciens.
Leader du trio qui porte son nom, Emmet est un pianiste international qui s’est déjà produit dans les plus grands festivals de Jazz ( Newport, Monterey, and North Sea jazz), et joue très régulièrement dans des lieux et clubs très connus comme le Rose Hall and the Kennedy, le Village Vanguard, le Blue Note, le Dizzy’s Club Coca-Cola, le Birdland, le Jazz Standard, le Ronnie Scott’s, le Jazzhaus Montmartre, le Duc des Lombards…
Emmet Cohen est principalement connu pour son travail dans le jazz , bien qu'il ait également étudié la musique savante européenne ( musique classique ) de manière approfondie plus tôt dans sa carrière, et cette influence est apparente dans sa technique, ses « citations » d'improvisation occasionnelles et sa maîtrise technique générale du clavier. [7] Il a joué avec Christian McBride , Herlin Riley , Brian Lynch , Ron Carter , Jimmy Cobb , Albert "Tootie" Heath , Joe Lovano , Eddie Henderson et George Coleman . [8]En tant que chef d'orchestre, Cohen tourne avec son groupe, le "Emmet Cohen Trio", le plus souvent avec ses proches collaborateurs, le bassiste Russell Hall et le batteur Kyle Poole.
Pendant le confinement, il crée Live From Emmet’s Place, un livestream sur YouTube hebdomadaire aux millions de vues à travers le monde.


Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.