Briser le silence autour de la santé mentale
À l’échelle mondiale, un jeune âgé de 10 à 19 ans sur sept souffre d’un trouble mental selon l’Organisation mondiale de la santé. Dépression, anxiété, troubles du comportement sont parmi les principales causes de morbidité et de handicap chez les adolescents. Et en Belgique : le suicide est la première cause de décès chez les 15-45 ans.
Un constat alarmant, dont on ne semble pas encore prendre la mesure… même si le tabou autour de la santé mentale se lève petit à petit. C’est pour libérer la parole, mais aussi libérer les corps et faire tomber les barrières, que le projet « Danse et santé mentale » a été lancé à Lyon en 2017. Comment la danse, et l’art de façon plus générale, peuvent-ils être un outil et un appui aux soins en matière de santé mentale? En quoi la danse peut-elle augmenter l’estime de soi et permettre à des jeunes atteints de troubles psychiques d’accéder à la citoyenneté?
Invités: Pierre Schonbrodt, journaliste-vidéaste au Centre d’Action Laïque, membre du collectif « Tout va s’arranger (ou pas) » et réalisateur du documentaire « Partitions d’instinct » qui s’intéresse à ce projet lyonnais, Elena de Pascale, étudiante et membre du Collectif « Tout va s’arranger (ou pas) » et Emmanuel Monneron, psychiatre au Pôle Centre du Centre Hospitalier Le Vinatier à Lyon et initiateur du projet « Danse et santé mentale ».
À l’échelle mondiale, un jeune âgé de 10 à 19 ans sur sept souffre d’un trouble mental selon l’Organisation mondiale de la santé. Dépression, anxiété, troubles du comportement sont parmi les principales causes de morbidité et de handicap chez les adolescents. Et en Belgique : le suicide est la première cause de décès chez les 15-45 ans.
Un constat alarmant, dont on ne semble pas encore prendre la mesure… même si le tabou autour de la santé mentale se lève petit à petit. C’est pour libérer la parole, mais aussi libérer les corps et faire tomber les barrières, que le projet « Danse et santé mentale » a été lancé à Lyon en 2017. Comment la danse, et l’art de façon plus générale, peuvent-ils être un outil et un appui aux soins en matière de santé mentale? En quoi la danse peut-elle augmenter l’estime de soi et permettre à des jeunes atteints de troubles psychiques d’accéder à la citoyenneté?
Invités: Pierre Schonbrodt, journaliste-vidéaste au Centre d’Action Laïque, membre du collectif « Tout va s’arranger (ou pas) » et réalisateur du documentaire « Partitions d’instinct » qui s’intéresse à ce projet lyonnais, Elena de Pascale, étudiante et membre du Collectif « Tout va s’arranger (ou pas) » et Emmanuel Monneron, psychiatre au Pôle Centre du Centre Hospitalier Le Vinatier à Lyon et initiateur du projet « Danse et santé mentale ».
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