Centenaires... et avant-gardistes
Soeur Gisèle, Soeur Lorette et Soeur Marcienne ont 80 ans révolus. Maude Petel-Légaré, qui les rencontre, en a 26. D’une rive à l’autre de la vie, une rencontre se tisse au fil des échanges, et des horizons communs se découvrent.
Enregistrés au couvent situé sur le boulevard Gouin à Montréal, les entretiens de cet épisode témoignent de l’amour et de l’admiration que les sœurs ont pour leur fondatrice, Marie Gérin-Lajoie, et de l’intention qui a mené à la fondation de leur communauté en 1923. Maude s’étonne de ne pas avoir davantage entendu parler de cette femme dans ses cours d’histoire, ou dans les courants féministes auxquels elle s’identifie.
C’est que cette communauté est la toute première au Canada à s’intéresser à ce que Marie Gérin-Lajoie nommait alors les « intérêts féminins », c'est-à-dire, la première à faire du féminisme l’objet de la fondation d’une communauté religieuse.
Soeur Gisèle, Soeur Lorette et Soeur Marcienne ont 80 ans révolus. Maude Petel-Légaré, qui les rencontre, en a 26. D’une rive à l’autre de la vie, une rencontre se tisse au fil des échanges, et des horizons communs se découvrent.
Enregistrés au couvent situé sur le boulevard Gouin à Montréal, les entretiens de cet épisode témoignent de l’amour et de l’admiration que les sœurs ont pour leur fondatrice, Marie Gérin-Lajoie, et de l’intention qui a mené à la fondation de leur communauté en 1923. Maude s’étonne de ne pas avoir davantage entendu parler de cette femme dans ses cours d’histoire, ou dans les courants féministes auxquels elle s’identifie.
C’est que cette communauté est la toute première au Canada à s’intéresser à ce que Marie Gérin-Lajoie nommait alors les « intérêts féminins », c'est-à-dire, la première à faire du féminisme l’objet de la fondation d’une communauté religieuse.
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