
« Cette maison qui semblait un ermitage en forêt »
Gustave Geffroy se souvient de Marie Bracquemond à Sèvres.
Cette semaine le podcast de Giverny s'intéresse à Marie Bracquemond, dont deux œuvres sont présentées dans l’exposition Côté jardin. De Monet à Bonnard.
Aux côtés de Berthe Morisot et de Mary Cassatt, Marie Bracquemond fut l’une des grandes figures féminines de l’impressionnisme et participa à trois des huit expositions du groupe. Mariée au graveur Félix Bracquemond, elle s’établit à Sèvres, dans le quartier de la villa Brancas, en 1871. Leur résidence, avec son jardin en terrasse, vit défiler de nombreuse personnalités littéraires et artistiques. Ces visiteurs comptaient parmi eux le journaliste et critique d’art Gustave Geffroy, dont nous avons déjà présenté plusieurs fois les écrits. En 1919, trois ans après la disparition de Marie Bracquemond, il rédige la préface du catalogue de l’exposition que lui consacre la galerie Bernheim-jeune. Il y évoque son talent, sa personnalité, ainsi que celle de son époux, et fait revivre les déjeuners du dimanche, où les Bracquemond recevaient leurs amis.
Lecture : Gustave Geffroy, Œuvres de Marie Bracquemond (1841-1916), Paris, Bernheim-Jeune, 1919, p. 6-8.
Cette semaine le podcast de Giverny s'intéresse à Marie Bracquemond, dont deux œuvres sont présentées dans l’exposition Côté jardin. De Monet à Bonnard.
Aux côtés de Berthe Morisot et de Mary Cassatt, Marie Bracquemond fut l’une des grandes figures féminines de l’impressionnisme et participa à trois des huit expositions du groupe. Mariée au graveur Félix Bracquemond, elle s’établit à Sèvres, dans le quartier de la villa Brancas, en 1871. Leur résidence, avec son jardin en terrasse, vit défiler de nombreuse personnalités littéraires et artistiques. Ces visiteurs comptaient parmi eux le journaliste et critique d’art Gustave Geffroy, dont nous avons déjà présenté plusieurs fois les écrits. En 1919, trois ans après la disparition de Marie Bracquemond, il rédige la préface du catalogue de l’exposition que lui consacre la galerie Bernheim-jeune. Il y évoque son talent, sa personnalité, ainsi que celle de son époux, et fait revivre les déjeuners du dimanche, où les Bracquemond recevaient leurs amis.
Lecture : Gustave Geffroy, Œuvres de Marie Bracquemond (1841-1916), Paris, Bernheim-Jeune, 1919, p. 6-8.


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