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Concert Johndoe / Kissilâ Kay

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Season 5, episode 32
1 hr 8 min / Published

JOHNDOE

de son vrai nom Gouléhi ZAHI est un artiste éclectique à la voix soul rnb.
D’origine ivoirienne et Guadeloupéenne, il combine deux cultures.
Victime d’un kidnapping à l’âge de 6 ans, il est hanté par mille et une question sur l’acte de son père.
Tel un scénario Hollywoodien, sa mère le récupère en Côte d’Ivoire après 5 ans.
De retour en France, ils s’installent à Sarcelles. A 20 ans, Johndoe se lance dans la musique;
influencé par son oncle mélomane.

Avec un ami « Gédéon Frito » ils forment un duo qui se nomme Hold Up
Zouk. Par le biais d’une connaissance, ils signent leurs premiers albums chez
« Moradisc» le plus grand label de l’époque. « Sexual Healing » de Marvin
Gaye bouleverse son univers musical. Soif d’apprendre la musique, il se
produit en live avec les groupes DINANTHOLOGIE et LA SOUNALIGHTA
et dans tous les bars parisiens en guitare/voix. (+ de 200 dates)

Après cette période de live, l’amour du Zouk est plus forte que tout.
En 2012, Johndoe revient avec un album solo « Don’t panik, je suis un zoukeur »
et crée le style Zoukgame (Déf : mélodies zouk alliés à des textes à consonance rap).
Johndoe a soif d’évolution, il signe 4 singles avec le label Crescendo music.
Du rêve à la réalité, il crée son propre label « UmoyaLMrecords » en 2016.
Et là ! Jackpot... 2 singles, 1 Ep de 6 titres « NEGUS » sortie en 2017, 6 clips (+ de 900 000 vues).
L’on notera, particulièrement, « Roméo must die », son premier succès avec son clip à + de 410 000 vues.
Autre « Top Hit » de l’EP, « Mwen Lèw », titre « coup de cœur » sur Tropiques FM. Mr DEDE
SAINT-PRIX (le Mickaël Jackson de la Caraïbes, comme dirait Johndoe lol), nous fait l’honneur de
participer dans le clip « NEGUS » un titre qui parle de son amour de la musique.
Un heureux événement dans la vie de Johndoe, lui révèle une nouvelle façon de voir les choses.
Il décide de s’ouvrir à son public et raconte son passé au travers d’une chanson « CELITA »
le prénom de sa maman.

Facebook : Johndoe Umoya
Instagram : @johndoe_umoya
Youtube : UmoyaLM Records

KISSILÂ KAY

est une artiste britannico-camerounaise, originaire de l’ouest Cameroun. Elle est à la fois Auteur-compositrice, interprète, actrice et productrice de musique. C’est dans les années 90 qu’elle entame sa carrière professionnelle en tant qu’interprète de blues de Chicago. Cette native Bana (Bafang) n’a alors rien perdu de ses racines, qu’elle met d’ailleurs merveilleusement en avant.

Son nom d’artiste Kissilâ vient alors de Guyzela son patronyme, qu’elle découpe en deux expressions : « Kissi » (la cuisine) et Lâ (le calme). On peut ainsi déjà croire en son humilité, son sens de patriotisme non dissipé, et son attachement indubitable à ses racines dans l’Ouest Cameroun profond. Authentique dans ses œuvres, cette beauté venue d’Afrique a su nipper ses titres d’originalités locales et d’ailleurs, non sans verser dans le plurivoque qui parfois joue à la défaveur de certains artistes avides d’aventures ou adeptes du mimétisme.

C’est à l’âge de 7 ans qu’elle se permet d’immerger dans ce monde pourtant mal perçu par certains parents. Les siens quant à eux, ayant décelé cette pépite de talent, l’encourageront dans son élan. C’est ainsi qu’elle intégrera diverses chorales des églises de la ville de Yaoundé. La petite surprend plus d’une ; elle chante non seulement au sein des chorales Bétis mais aussi avec celle de l’église des Douala ou encore avec celle des jeunes, en français. Elle ne s’arrêtera jamais, la musique étant devenue une obsession, elle s’y prête sous la douche, au réveil, dans la rue, lors des anniversaires en famille ou pendant ceux des amis. Adolescente, elle côtoie de grands musiciens professionnels en chantant notamment du blues pour les cabarets l’Equateur’ et Le Pacific Palissade à Akwa (Douala) au Cameroun.

Recherchant avidement une plus-value à sa carrière artistique et surtout à ses études universitaires, c’est de l’autre côté de l’océan qu’elle se posera et se mettra véritablement au travail. Une fois en Angleterre, elle poursuit ses études universitaires et accompagne, en parallèle, plusieurs artistes en studio et sur scènes. On vous l’a dit, elle n’en démord pas, la musique est une obsession pour elle : « Je ne passe pas une seule journée sans chantonner. Quitter la musique pour moi serait mettre fin à ma joie de vivre »… Elle va par ailleurs faire la première partie des Neg’ Marrons en 2008 au festival de musique de la ville de Meaux en France, écumera plusieurs festivals de blues dans la région Parisienne. On ressent une très forte influence de gospel (du negro spirituals) dans sa musique. Parmi ses modèles : Tina Turner, Myriam Makeba ou encore James Brown …

Allier études et musique n’était alors qu’une simple formalité, nous rassure-t-elle : « Certains diront, non. Mais me concernant, ça a été une évidence. J’ai pu concilier ma vie d’artiste à mes études sans beaucoup de difficultés, car la musique est plus qu’une passion pour moi. Même en rédigeant mes mémoires de fin d’études, je m’arrêtais de temps en temps pour écrire un nouveau texte et composer, dans les minutes qui suivaient, la mélodie qui va avec. Pour moi, le chant est indispensable ». Aujourd’hui et plus que jamais, KISSILÂ chante, oui elle chante en anglais, en patois, en pidgin, en zulu et en français, pour le grand plaisir de tous ses fans à travers le monde. Ce public le lui rend bien, de quoi booster sa détermination : « Je suis fière de ma progression », se réjouira-t-elle.

Du blues (surtout celui de Chicago, qu’elle maitrise parfaitement), passant par l’Afro-house à la musique urbaine, les thèmes sont l’amour, la trahison, la joie et la déception.

Après son premier EP «REVEALED», Elle annonce sous le label EARLYKISS son deuxième album intitulé «arc en ciel» en 2020. Cet album est riche en sonorités et colorations actuelles. C’est un nouveau visage de la QUEEN DU HAUT-NKAM (encore connue sous le nom de Funky Mama Kay) qui est ainsi dévoilé. C’est de l’Afrobeat, du Bikuturbain, du Rap, du RnB, de la Soul du Blues et même du Slam. Ses origines sont fortement représentées, car KISSILÂ nous sert là un plat aux épices des rythmes Africains.

Pour KISSILÂ, «Arc en Ciel» c’est des couleurs artistiques, mais surtout c’est un condensé de sa vie et de ses multiples expériences», cet album est une partie d’elle.

Facebook :  Kissilâ Kay
Youtube : Kissilâ Kay

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