#E4 - L’écho de la lumière, l’opacité de la transparence - Atelier 1–3
La lumière serait-elle un passager clandestin ?
Dans ce 4e épisode, le visiteur quitte les black box des précédents ateliers, pour s’aventurer dans une série de salles dont les œuvres exposées traitent de la transparence, de la lumière et qui mettent en exergue tout un travail original sur le verre.
Alain Fleischer a choisi de l’utiliser pour sa transparence mais aussi comme réceptacle de traces, d’empreintes et comme médium de projection. L’espace règne en une scénographie ouverte permettant une déambulation ponctuée d'échappées lumineuses. L’artiste présente ici des installations et des photographies autour du reflet et de la lumière, mettant en scène tantôt des objets insolites tantôt des objets d’usage quotidien.
Ainsi le visiteur tombera nez à nez avec des pièces emblématiques, parmi lesquelles l’Escalier sous la mer, Objets-miroirs, Cadres-miroirs, Miroirs-tiroirs, Argenteries et autres reflets, les Êtres de verres, Premier regard Dernier regard, qui sont des oeuvres-objets qui font miroirs et reflètent l’image. On y découvre aussi Les aventures de la lumière, puis la délicate et très poétique installation Premier Dernier regard et l’intrigante Je ne suis qu’une image. La lumière serait-elle un passager clandestin ? Un flux, un écho qui travaillerait avec la complicité d’une matière essentielle, extraordinaire, une matière aux mille visages, tour à tour, invisible, opaque, habillée en miroir ou paré de couleurs.
Dans ce 4e épisode, le visiteur quitte les black box des précédents ateliers, pour s’aventurer dans une série de salles dont les œuvres exposées traitent de la transparence, de la lumière et qui mettent en exergue tout un travail original sur le verre.
Alain Fleischer a choisi de l’utiliser pour sa transparence mais aussi comme réceptacle de traces, d’empreintes et comme médium de projection. L’espace règne en une scénographie ouverte permettant une déambulation ponctuée d'échappées lumineuses. L’artiste présente ici des installations et des photographies autour du reflet et de la lumière, mettant en scène tantôt des objets insolites tantôt des objets d’usage quotidien.
Ainsi le visiteur tombera nez à nez avec des pièces emblématiques, parmi lesquelles l’Escalier sous la mer, Objets-miroirs, Cadres-miroirs, Miroirs-tiroirs, Argenteries et autres reflets, les Êtres de verres, Premier regard Dernier regard, qui sont des oeuvres-objets qui font miroirs et reflètent l’image. On y découvre aussi Les aventures de la lumière, puis la délicate et très poétique installation Premier Dernier regard et l’intrigante Je ne suis qu’une image. La lumière serait-elle un passager clandestin ? Un flux, un écho qui travaillerait avec la complicité d’une matière essentielle, extraordinaire, une matière aux mille visages, tour à tour, invisible, opaque, habillée en miroir ou paré de couleurs.
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