Amare, ou plutôt devrai-je le prononcer A·ma·re (italien), vient de la rencontre entre deux artistes, Amandine et Maeva, au sein d’un programme professionnel de danse/performance appelé Performact.
Très vite, elles collaborent avec des chorégraphes belges et portugais, notamment issus d’Ultima Vez Cie, de Wim Vandekeybus.
En 2017, elles entament un travail conjoint sur base d’improvisations. Les pratiques chorégraphiques sur plateau et un gout prononcé pour le décloisonnement artistique les mènera tout droit à l’espace urbain.
Rapidement voit le jour un premier spectacle : « Quizas », qui sera présenté au public en avril 2018 dans le cadre des Furies, à Châlons-en-Champagne.
Amare s’affirme, et c’est bien le terme, comme un collectif abordant les thèmes fondateurs de la société contemporaine, tels que l’amour, le féminisme ou la mort. S’affirme en mettant au diapason /ouvrez les guillemets/ l’art performatif, le théâtre politique, le sens de la dérision et la liberté de ton.
Derrière l’affirmation, on peut parler d’obsession pour les dialogues entre les disciplines existantes, mais surtout pour les formes théâtrales griffonnées au fur et à mesure, ce qui finalement en fait une compagnie qui œuvre principalement au plateau, très tôt dans son processus de création.
On y convoque oralité, chorégraphie, musique live, rencontres avec des gens et le tout est savamment orchestré à grand renfort d’inspirations littéraires et cinématographiques.
Amare fait parler le cors et danser la voix.
Amare affirme un goût prononcé pour le transdisciplinaire.
Il ne me semble pas l’avoir dit mais Amare est native des Hauts-de-France.
Nous sommes ici en compagnie de la compagnie Amare en la personne de sa directrice artistique, Amandine Vandroth
Amare, ou plutôt devrai-je le prononcer A·ma·re (italien), vient de la rencontre entre deux artistes, Amandine et Maeva, au sein d’un programme professionnel de danse/performance appelé Performact.
Très vite, elles collaborent avec des chorégraphes belges et portugais, notamment issus d’Ultima Vez Cie, de Wim Vandekeybus.
En 2017, elles entament un travail conjoint sur base d’improvisations. Les pratiques chorégraphiques sur plateau et un gout prononcé pour le décloisonnement artistique les mènera tout droit à l’espace urbain.
Rapidement voit le jour un premier spectacle : « Quizas », qui sera présenté au public en avril 2018 dans le cadre des Furies, à Châlons-en-Champagne.
Amare s’affirme, et c’est bien le terme, comme un collectif abordant les thèmes fondateurs de la société contemporaine, tels que l’amour, le féminisme ou la mort. S’affirme en mettant au diapason /ouvrez les guillemets/ l’art performatif, le théâtre politique, le sens de la dérision et la liberté de ton.
Derrière l’affirmation, on peut parler d’obsession pour les dialogues entre les disciplines existantes, mais surtout pour les formes théâtrales griffonnées au fur et à mesure, ce qui finalement en fait une compagnie qui œuvre principalement au plateau, très tôt dans son processus de création.
On y convoque oralité, chorégraphie, musique live, rencontres avec des gens et le tout est savamment orchestré à grand renfort d’inspirations littéraires et cinématographiques.
Amare fait parler le cors et danser la voix.
Amare affirme un goût prononcé pour le transdisciplinaire.
Il ne me semble pas l’avoir dit mais Amare est native des Hauts-de-France.
Nous sommes ici en compagnie de la compagnie Amare en la personne de sa directrice artistique, Amandine Vandroth
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