[ Entre nous ] La compagnie Entre chien et loup
Après le lac
Citation
Cet épisode est enregistré en croisement avec Xavier Valinducq, journaliste pour le média local et culturel ValExplorer. Sans que cela soit systématique, je me fais une joie de partager l’entretien avec un média journaliste, qui apportera, c’est certain, une dimension plus large à nos échanges
Les spectacles de cette compagnie sont essentiellement destinés à l’espace public (aux lieux non dédiés). Ils « requestionnent » souvent la place même du spectateur et l’invitent souvent à être au cœur du dispositif, qu’il soit scénographique ou sonore… La parole est un élément essentiel du travail de la compagnie et mêlent souvent le réel avec notamment les recueils de témoignages et fictif, qui pourra alors être écrit, romancé, travaillé pour que la forme souhaitée prenne tout son sens.
Coté scénographie, comme l’espace public peut le permettre voire l’inviter, le domaine des possibles n’a de limite que l’imagination, ou presque, puisque les projets artistiques peuvent tenir dans une cabane de 6m2 comme au long d’une randonnée de 3k, les spectateur·ices étant alors parties prenantes des dispositifs.
On peut dire que la compagnie a un rapport particulier aux publics qu’elle invite. Il se s’agit pas d’une proposition artistique dite classique avec un spectacle d’un coté et un public de l’autre, c’est plutôt de l’ordre de « l’expérience » que j’oserais appeler « immersion », mais la compagnie ici présente confirmera ou non cet avis. Je ne dois pas être très loin de la vérité puisque je cite ce que j’ai pu lire dans la présentation officielle « La compagnie souhaite changer le rapport habituel qu’ont les spectateurs à ce qu’on leur raconte. Que chacun prenne en compte son passé, ses souvenirs, comme une partie intégrante du spectacle. »
S’il est difficile, pour les artistes en général, de faire sans les gens, c’est encore plus vrai pour la compagnie Entre chien et loup, que nous accueillons ici au micro du podcast du Boulon.
En résidence de création : Après le lac, d'après le roman de Karin Serres (Monde sans oiseaux)
CitationCet épisode est enregistré en croisement avec Xavier Valinducq, journaliste pour le média local et culturel ValExplorer. Sans que cela soit systématique, je me fais une joie de partager l’entretien avec un média journaliste, qui apportera, c’est certain, une dimension plus large à nos échanges
Les spectacles de cette compagnie sont essentiellement destinés à l’espace public (aux lieux non dédiés). Ils « requestionnent » souvent la place même du spectateur et l’invitent souvent à être au cœur du dispositif, qu’il soit scénographique ou sonore… La parole est un élément essentiel du travail de la compagnie et mêlent souvent le réel avec notamment les recueils de témoignages et fictif, qui pourra alors être écrit, romancé, travaillé pour que la forme souhaitée prenne tout son sens.
Coté scénographie, comme l’espace public peut le permettre voire l’inviter, le domaine des possibles n’a de limite que l’imagination, ou presque, puisque les projets artistiques peuvent tenir dans une cabane de 6m2 comme au long d’une randonnée de 3k, les spectateur·ices étant alors parties prenantes des dispositifs.
On peut dire que la compagnie a un rapport particulier aux publics qu’elle invite. Il se s’agit pas d’une proposition artistique dite classique avec un spectacle d’un coté et un public de l’autre, c’est plutôt de l’ordre de « l’expérience » que j’oserais appeler « immersion », mais la compagnie ici présente confirmera ou non cet avis. Je ne dois pas être très loin de la vérité puisque je cite ce que j’ai pu lire dans la présentation officielle « La compagnie souhaite changer le rapport habituel qu’ont les spectateurs à ce qu’on leur raconte. Que chacun prenne en compte son passé, ses souvenirs, comme une partie intégrante du spectacle. »
S’il est difficile, pour les artistes en général, de faire sans les gens, c’est encore plus vrai pour la compagnie Entre chien et loup, que nous accueillons ici au micro du podcast du Boulon.
En résidence de création : Après le lac, d'après le roman de Karin Serres (Monde sans oiseaux)
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