[ Entre nous ] Le collectif Métalu A Chahuter
Laure Chailloux du collectif Métalu & les résident·es de l'Hôpital de jour de Condé-sur-l'Escaut
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public.
Aujourd’hui, on enregistre un nouvel épisode de la série [ Entre nous ] qui donne la parole aux artistes qui sont en résidence de création au Boulon. Cette fois, c’est avec la compagnie originaire des Hauts-de-France, Metalu A Chahuter, que nous allons échanger, notamment autour d’une création intitulée : Ce qui nous tient.
Ce qui nous tient aurait pu aussi s’appeler Ce qui nous lie, ce qui communique entre nous, quelle est l’essence même de ce qui nous est commun à nous les humains et que nous avons tendance à oublier.
Et puis cet épisode est aussi l’occasion de réitérer un autre type d’invitation, car nous avons à nos cotés une structure partenaire fidèle au Boulon, l’Hôpital de Jour de Condé. Je ne serai pas le seul interlocuteur à dialoguer avec notre invitée, mais bien accompagné de deux résidents, qui se feront les porte parole des six personnes issues de la même structure et qui ont assisté à une petite présentation il y a deux jours. Nous avons eu l’opportunité d’un temps privilégié avec la cie qui nous a ouvert les portes des répétitions pour deux saynètes.
A partir de là, des échanges très constructifs ont eu lieu entre artistes et public privilégié, les résidents de l’hôpital de Jour de Condé sont repartis avec leurs accompagnatrices en vue d’écrire quelques questions que vous allez entendre d’ici quelques instants.
Mais avant de débuter réellement cet épisode, quelques mots sur le collectif Metalu A Chahuter. Originaire des Hauts-de-France, mais je l’ai déjà dit, la compagnie se compose d’une dizaine d’entités artistiques qui sait tout faire, comédiens, comédiennes, plasticiens, plasticiennes, musiciens, musiciennes… Ensemble ils et elles créent des formes théâtrales et musicales décalées en espace non dédiés, de la petite forme en solo aux grandes formes scénographiques. Quand on regarde sur le site de la compagnie on peut constater une quarantaine de projets artistiques et il faut remonter à 1999 pour y trouver les fondements de ce qui deviendra Metalu A Chahuter. Il me serait difficile de ne pas mentionner le hasard des calendriers, car 1999 est aussi la date de la toute première édition des Turbulentes. Voilà qui devrait nous rajeunir.
Enfin il me serait tout aussi difficile de ne pas remercier Frédérique Beudin, Virginie Olivier, Alexandre Salengro, Ralid Chayn et Maxime Georgelet les résident·s de l’Hôpital de Jour ainsi que Sylvie Losse et Elise Burny , les deux responsables qui les ont accompagnés.
Je lègue donc le micro de cet épisode du podcast à Alexandre et Rhalid nos journalistes d’un jour, pour un échange avec Laure Chailloux du collectif Metalu A Chahuter. Mes excuses pour cette introduction beaucoup trop longue. Bon épisode à toutes et tous.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public.
Aujourd’hui, on enregistre un nouvel épisode de la série [ Entre nous ] qui donne la parole aux artistes qui sont en résidence de création au Boulon. Cette fois, c’est avec la compagnie originaire des Hauts-de-France, Metalu A Chahuter, que nous allons échanger, notamment autour d’une création intitulée : Ce qui nous tient.
Ce qui nous tient aurait pu aussi s’appeler Ce qui nous lie, ce qui communique entre nous, quelle est l’essence même de ce qui nous est commun à nous les humains et que nous avons tendance à oublier.
Et puis cet épisode est aussi l’occasion de réitérer un autre type d’invitation, car nous avons à nos cotés une structure partenaire fidèle au Boulon, l’Hôpital de Jour de Condé. Je ne serai pas le seul interlocuteur à dialoguer avec notre invitée, mais bien accompagné de deux résidents, qui se feront les porte parole des six personnes issues de la même structure et qui ont assisté à une petite présentation il y a deux jours. Nous avons eu l’opportunité d’un temps privilégié avec la cie qui nous a ouvert les portes des répétitions pour deux saynètes.
A partir de là, des échanges très constructifs ont eu lieu entre artistes et public privilégié, les résidents de l’hôpital de Jour de Condé sont repartis avec leurs accompagnatrices en vue d’écrire quelques questions que vous allez entendre d’ici quelques instants.
Mais avant de débuter réellement cet épisode, quelques mots sur le collectif Metalu A Chahuter. Originaire des Hauts-de-France, mais je l’ai déjà dit, la compagnie se compose d’une dizaine d’entités artistiques qui sait tout faire, comédiens, comédiennes, plasticiens, plasticiennes, musiciens, musiciennes… Ensemble ils et elles créent des formes théâtrales et musicales décalées en espace non dédiés, de la petite forme en solo aux grandes formes scénographiques. Quand on regarde sur le site de la compagnie on peut constater une quarantaine de projets artistiques et il faut remonter à 1999 pour y trouver les fondements de ce qui deviendra Metalu A Chahuter. Il me serait difficile de ne pas mentionner le hasard des calendriers, car 1999 est aussi la date de la toute première édition des Turbulentes. Voilà qui devrait nous rajeunir.
Enfin il me serait tout aussi difficile de ne pas remercier Frédérique Beudin, Virginie Olivier, Alexandre Salengro, Ralid Chayn et Maxime Georgelet les résident·s de l’Hôpital de Jour ainsi que Sylvie Losse et Elise Burny , les deux responsables qui les ont accompagnés.
Je lègue donc le micro de cet épisode du podcast à Alexandre et Rhalid nos journalistes d’un jour, pour un échange avec Laure Chailloux du collectif Metalu A Chahuter. Mes excuses pour cette introduction beaucoup trop longue. Bon épisode à toutes et tous.
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