épilator - brume éternelle
Lauréats de la météo du 14 novembre
Dans "Brume Éternelle", Epilator balance un morceau à leur image : brut, sérieux et sans fioritures. Fidèles à eux-mêmes, les membres d’Epilator débarquent comme des durs à cuire, tout en véhiculant un monde où la brume et la grisaille sont des ennemis jurés qu'ils affrontent, clope au bec et regard vissé au sol. Pour eux, pas de poésie ni de subtilité, juste une évasion simple sous un ciel plombé, bercée par quelques bouffées de CBD pour "tenir le coup."
Avec des riffs pesants et une voix pleine de gravité, "Brume Éternelle" est l’occasion pour Epilator de montrer leur vision d’une masculinité sans compromis : armés de leurs blousons en skaï, ils prennent la pose et affrontent un monde morne à leur manière. Leurs textes évoquent la rudesse du quotidien sans autre ambition que de se perdre un peu dans la fumée et d’oublier la ville. C'est du rock au premier degré, où l'attitude prime sur le message, et où Epilator préfère encore s’enfermer dans sa propre brume que de lever le voile sur ses vraies motivations.
Dans "Brume Éternelle", Epilator balance un morceau à leur image : brut, sérieux et sans fioritures. Fidèles à eux-mêmes, les membres d’Epilator débarquent comme des durs à cuire, tout en véhiculant un monde où la brume et la grisaille sont des ennemis jurés qu'ils affrontent, clope au bec et regard vissé au sol. Pour eux, pas de poésie ni de subtilité, juste une évasion simple sous un ciel plombé, bercée par quelques bouffées de CBD pour "tenir le coup."
Avec des riffs pesants et une voix pleine de gravité, "Brume Éternelle" est l’occasion pour Epilator de montrer leur vision d’une masculinité sans compromis : armés de leurs blousons en skaï, ils prennent la pose et affrontent un monde morne à leur manière. Leurs textes évoquent la rudesse du quotidien sans autre ambition que de se perdre un peu dans la fumée et d’oublier la ville. C'est du rock au premier degré, où l'attitude prime sur le message, et où Epilator préfère encore s’enfermer dans sa propre brume que de lever le voile sur ses vraies motivations.
Le matin se lève, on allume tranquille,
Quelques éclats dans l’air, rien de bien subtil.
CBD en main pour tenir ce ciel gris,
Neuf degrés glacés, on s’en sort comme on peut ici.
Le soleil s’étouffe dans un voile plombé,
Alors on tire sur un 3 feuilles pour se réchauffer.
Y’a rien qui brille dans ce foutu ciel,
Mais on s’évade un peu, on se fait la belle.
Et demain, pareil, sous des nuages amers,
On oublie la ville, on plane à l’envers.
L’après-midi arrive, ça sent la bad vibe,
Un autre nuage pour oublier la norme.
Plafond lourd au-dessus, c’est tout gris ici,
On s’pose avec un bédo de CBD aussi.
Toi tu cherches l’éclaircie ? Bonne chance à toi,
Nous, on attend, en flottant comme des chats.
Y’a rien qui brille dans ce foutu ciel,
Juste nous et la brume, on s’fait l’éternel.
Les nuages étouffent, c’est un décor sale,
Alors on inspire profond, on oublie le mal.
Et le soir, même ambiance,
Le ciel incertain, mais y’a pas d’urgence.
La lune ? On s’en passe, tout est brouillard,
On plane léger, on oublie le regard.
Et toute la nuit, sous ce ciel d’ombre,
Sept degrés, et le silence tombe.
Pas une étoile, pas un souffle à l’horizon,
Juste une nuit qui se dissout en vibration.
Y’a rien qui brille dans ce foutu ciel,
Alors on respire, l’herbe pour le réel.
Encore et encore, le monde se dissout,
On se laisse flotter dans le CBD doux.
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