Frédérick Wiseman, un maître du documentaire
11e Festival de la radio et de l'écoute Longueur d'ondes
En invitant Frédérick Wiseman, la Scam proposait une séance exceptionnelle autour d’un immense documentariste dont le nom à lui tout seul vaut quitus, respect, enthousiasme. Muni de sa caméra légère 16 mm et de son magnétophone portable, il prend le temps d’écouter et de regarder, de dégager rêves et cauchemars de la vie quotidienne. Il dessine le portrait d’une humanité ordinaire au sein d’une large palette d’institutions. Il critique et filme, de façon macroscopique, la comédie humaine. Il radiographie les grands « corps » constitués de son pays, chronique les rapports sociaux au quotidien. Il explore des lieux de pouvoir ou de consommation symboliques, des lieux d’enfermement, en se concentrant sur des microcosmes. Le festival projetait d’ailleurs l’un de ses films datant de 2013 : At Berkeley, sur l’université publique dans l’étau libéral.
En invitant Frédérick Wiseman, la Scam proposait une séance exceptionnelle autour d’un immense documentariste dont le nom à lui tout seul vaut quitus, respect, enthousiasme. Muni de sa caméra légère 16 mm et de son magnétophone portable, il prend le temps d’écouter et de regarder, de dégager rêves et cauchemars de la vie quotidienne. Il dessine le portrait d’une humanité ordinaire au sein d’une large palette d’institutions. Il critique et filme, de façon macroscopique, la comédie humaine. Il radiographie les grands « corps » constitués de son pays, chronique les rapports sociaux au quotidien. Il explore des lieux de pouvoir ou de consommation symboliques, des lieux d’enfermement, en se concentrant sur des microcosmes. Le festival projetait d’ailleurs l’un de ses films datant de 2013 : At Berkeley, sur l’université publique dans l’étau libéral.
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