Le Cameroun a récemment été examiné par le Comité des Nations Unies contre la Torture, un processus essentiel dans la lutte pour le respect des droits humains. Cet examen intervient dans un contexte préoccupant marqué par une détérioration sécuritaire, aggravée par les crises dans les régions anglophones et les opérations anti-terroristes. Un rapport alternatif, préparé par la société civile camerounaise sous la direction du RECODH (Réseau Camerounais des Organisations des Droits de l’Homme), met en lumière des violations graves et systémiques :
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Pratiques de torture institutionnalisées, notamment lors des détentions arbitraires.
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Traitements inhumains et dégradants, ciblant les défenseurs des droits humains, journalistes et manifestants pacifiques.
Le rapport plaide pour :
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Un cadre juridique plus rigide pour prévenir et punir les actes de torture.
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Une indépendance renforcée des mécanismes de protection des droits humains.
Nous avons échangé avec Bertrand Tientcheu, secrétaire permanent du RECODH, qui souligne l’importance d’un dialogue constructif avec les autorités camerounaises. Pour lui, ce dialogue est indispensable pour avancer vers un respect effectif des normes internationales en matière de droits humains et garantir la sécurité et la dignité des citoyens.
Le Cameroun a récemment été examiné par le Comité des Nations Unies contre la Torture, un processus essentiel dans la lutte pour le respect des droits humains. Cet examen intervient dans un contexte préoccupant marqué par une détérioration sécuritaire, aggravée par les crises dans les régions anglophones et les opérations anti-terroristes. Un rapport alternatif, préparé par la société civile camerounaise sous la direction du RECODH (Réseau Camerounais des Organisations des Droits de l’Homme), met en lumière des violations graves et systémiques :
- Pratiques de torture institutionnalisées, notamment lors des détentions arbitraires.
- Traitements inhumains et dégradants, ciblant les défenseurs des droits humains, journalistes et manifestants pacifiques.
Le rapport plaide pour :
- Un cadre juridique plus rigide pour prévenir et punir les actes de torture.
- Une indépendance renforcée des mécanismes de protection des droits humains.
Nous avons échangé avec Bertrand Tientcheu, secrétaire permanent du RECODH, qui souligne l’importance d’un dialogue constructif avec les autorités camerounaises. Pour lui, ce dialogue est indispensable pour avancer vers un respect effectif des normes internationales en matière de droits humains et garantir la sécurité et la dignité des citoyens.
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