
Gerda Taro : la fatale tragédie d’une pionnière tombée dans l’oubli • part.3/3
En 1937, Gerda Taro est de ces femmes photographes reconnues, dont le nom circule autant que ses images captivent. Quant à son indépendance, elle ne cesse de grandir. Mais au sommet de cette trajectoire fulgurante, le destin la rattrape brutalement. Ce dernier épisode explore les derniers jours de sa vie, son effacement progressif de la mémoire collective… et la bataille pour faire resurgir sa vérité.
Dans ce dernier volet de notre histoire en 3 épisodes, je t’explique pourquoi cette photographe a été autant apparenté à une Jeanne d’Arc des temps modernes qu’à une femme qu’il fallait à tout prix effacer des livres d’histoire. Alors, si tu n’as pas encore écouté les épisodes précédents, je t’invite vivement à les découvrir avant de continuer. Ils sont essentiels pour comprendre la portée de ce dernier chapitre.
Mais petit trigger warning avant de commencer : cet épisode aborde des scènes de morts violentes, et des épisodes de deuil profond. Ce récit est aussi bouleversant qu’essentiel.
Alors installe-toi confortablement, et prépare-toi à traverser les silences, les mensonges, et les vérités qu’il a fallu exhumer. Je suis Élodie Bonin et tu écoutes Nicéphore, le podcast qui te plonge dans l’histoire de la photographie pour insuffler une nouvelle ère dans ta créativité.
Découvre les précieuses voix-off de Nicéphore :
☠️ Kurt du podcast "Obscurum"
🩸 Vanyll du podcast "C'est Creepy"
📸 Lou Segura, photographe
Découvre les sources citées dans cet épisode :
Gerda Taro: une photographe révolutionnaire dans la guerre d'Espagne, Irme Schaber (2006)
L'Ombre d'une photographe. Gerda Taro, François Maspero (2006)
La Cinquième Colonne, Ernest Hemingway (1938)
Jusqu'à ce que la mort nous sépare, Martha Gerllhorn
Découvre les musiques de l'épisode :
Fleur Bleue, Charles Trenet (1937)
L'internationale, Eugène Pottier (1871)
Carioca (Rumba), Impero Argentina (1933)
Dramatic Emotional Cinematic, Universfield
Pain., Clavier-Music
Kaddish, Maurice Ravel (1914)
Piano Sonata No 2 in B flat minor, Funeral March, Frédéric Chopin (1839)
Crazy Feet, Ray Noble (1934)
Heil Hitler! Ja! Ja! Ja!, Ronald Frankau (1939)
Sad Documentary Sorrowful Music, HitsLab
Les Contes d'Hoffmann, Jacques Offenbach (1951)
A Fine Romance, Ella Fitzgerald et Louis Armstrong (1936)
Si l’on pouvait arrêter les aiguilles, Berthe Silva (1937)
Ay Jalisco No Te Rajes, Jorge Negrete
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Contact collaboration : hello.elodiebonin@gmail.com
Musique :
"Nicéphore", composée par Pierre Lutz, est une création spécialement conçu pour ce podcast. Tous droits réservés.
Le podcast Nicéphore est une création originale d'Élodie Bonin.
En 1937, Gerda Taro est de ces femmes photographes reconnues, dont le nom circule autant que ses images captivent. Quant à son indépendance, elle ne cesse de grandir. Mais au sommet de cette trajectoire fulgurante, le destin la rattrape brutalement. Ce dernier épisode explore les derniers jours de sa vie, son effacement progressif de la mémoire collective… et la bataille pour faire resurgir sa vérité.
Dans ce dernier volet de notre histoire en 3 épisodes, je t’explique pourquoi cette photographe a été autant apparenté à une Jeanne d’Arc des temps modernes qu’à une femme qu’il fallait à tout prix effacer des livres d’histoire. Alors, si tu n’as pas encore écouté les épisodes précédents, je t’invite vivement à les découvrir avant de continuer. Ils sont essentiels pour comprendre la portée de ce dernier chapitre.
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Gerda Taro: une photographe révolutionnaire dans la guerre d'Espagne, Irme Schaber (2006)
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