Gisèle Vishnou - Tenir le coup
lauréate du 20 novembre
Gisèle Vishnou est une artiste unique en son genre : à mi-chemin entre une chanteuse électro minimaliste et une institutrice en burn-out chronique. Cette figure atypique de la scène musicale underground est née d’une réalité sociale brutale et d’une imagination débridée. Entre Prozac et stylos rouges, elle compose des hymnes à l’absurde pour ceux qui, comme elle, oscillent entre vocation sacrée et désillusion totale.
Ancienne prof de maternelle, Gisèle a troqué les craies contre des synthés et les conseils pédagogiques contre des textes crus et sincères. Chaque morceau est une plongée dans son quotidien d'instit : une classe survoltée, des parents lunatiques, des inspectrices tyranniques, et le bruit de fond constant des pilules qui tombent dans sa boîte à pharmacie.
Son premier album, "Récréation Permanente", explore avec humour noir et rage contenue les affres de l'éducation nationale. Entre beats robotiques et paroles incisives, Gisèle aborde des thèmes comme l’alcoolisme fonctionnel, la dépression institutionnalisée, et l’absurdité des injonctions politiques sur l’école.
Dans ses rares moments de lucidité, Gisèle se définit comme "le chaînon manquant entre Chantal Goya et Miss Kittin sous anxiolytiques". Un mélange de nostalgie, de nihilisme et d’électro lo-fi qui fait d’elle une artiste aussi fascinante qu’inquiétante.
Suivez-la dans ses concerts où elle alterne chansons borderline et monologues dignes d’une réunion parents-profs sous LSD. Car, comme elle aime à le rappeler, "la folie n'est pas un luxe, c'est une nécessité quand on a trente mômes par classe."
Gisèle Vishnou est une artiste unique en son genre : à mi-chemin entre une chanteuse électro minimaliste et une institutrice en burn-out chronique. Cette figure atypique de la scène musicale underground est née d’une réalité sociale brutale et d’une imagination débridée. Entre Prozac et stylos rouges, elle compose des hymnes à l’absurde pour ceux qui, comme elle, oscillent entre vocation sacrée et désillusion totale.
Ancienne prof de maternelle, Gisèle a troqué les craies contre des synthés et les conseils pédagogiques contre des textes crus et sincères. Chaque morceau est une plongée dans son quotidien d'instit : une classe survoltée, des parents lunatiques, des inspectrices tyranniques, et le bruit de fond constant des pilules qui tombent dans sa boîte à pharmacie.
Son premier album, "Récréation Permanente", explore avec humour noir et rage contenue les affres de l'éducation nationale. Entre beats robotiques et paroles incisives, Gisèle aborde des thèmes comme l’alcoolisme fonctionnel, la dépression institutionnalisée, et l’absurdité des injonctions politiques sur l’école.
Dans ses rares moments de lucidité, Gisèle se définit comme "le chaînon manquant entre Chantal Goya et Miss Kittin sous anxiolytiques". Un mélange de nostalgie, de nihilisme et d’électro lo-fi qui fait d’elle une artiste aussi fascinante qu’inquiétante.
Suivez-la dans ses concerts où elle alterne chansons borderline et monologues dignes d’une réunion parents-profs sous LSD. Car, comme elle aime à le rappeler, "la folie n'est pas un luxe, c'est une nécessité quand on a trente mômes par classe."
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