
Glitter riot - Rainbow ass fever
chanson meteorologique du 27 mars
Glitter Riot, prophète malgré lui d’une ère où tout s’efface dans la brume colorée des projecteurs . Il retourne la piste de danse avec Rainbow ass Fever. Un groove implacable, des nappes de synthé sucrées, des refrains faits pour être hurlés à tue-tête –
tout est là pour célébrer la fête ultime, celle qui ne s’arrête jamais. Ou peut-être celle dont on ne veut jamais voir la fin.
Parce que derrière les beats envoûtants, une question persiste : et après ?
Les corps s’agitent, les bouches rient, les mots se diluent. Tout est beau, ou bien tout est moche, mais au fond, quelle importance ?
On célèbre sans trop savoir quoi, on danse sans trop savoir pourquoi, on s’accroche aux certitudes plastifiées d’une époque qui a transformé les causes en slogans, les luttes en hashtags, la pensée en algorithme.
Alors on continue, hypnotisés par l’éclat des miroirs tournoyants, convaincus qu’ils renvoient encore quelque chose de réel.
Glitter Riot ne dit pas ce qu’il faut penser.
Il est déjà sur la piste, perdu dans le tourbillon, emporté comme les autres.
Il danse avec les Jules César des nouveaux empires, il se laisse porter par les confettis, il fait la fête avec ciels qui s’amusent trop pour voir le mur se rapprocher.
Rainbow ass Fever n’est pas une alerte, c’est un hit.
Un tube insouciant, trop insouciant.
Jusqu’à ce que le son s’arrête."
Glitter Riot, prophète malgré lui d’une ère où tout s’efface dans la brume colorée des projecteurs . Il retourne la piste de danse avec Rainbow ass Fever. Un groove implacable, des nappes de synthé sucrées, des refrains faits pour être hurlés à tue-tête –
tout est là pour célébrer la fête ultime, celle qui ne s’arrête jamais. Ou peut-être celle dont on ne veut jamais voir la fin.
Parce que derrière les beats envoûtants, une question persiste : et après ?
Les corps s’agitent, les bouches rient, les mots se diluent. Tout est beau, ou bien tout est moche, mais au fond, quelle importance ?
On célèbre sans trop savoir quoi, on danse sans trop savoir pourquoi, on s’accroche aux certitudes plastifiées d’une époque qui a transformé les causes en slogans, les luttes en hashtags, la pensée en algorithme.
Alors on continue, hypnotisés par l’éclat des miroirs tournoyants, convaincus qu’ils renvoient encore quelque chose de réel.
Glitter Riot ne dit pas ce qu’il faut penser.
Il est déjà sur la piste, perdu dans le tourbillon, emporté comme les autres.
Il danse avec les Jules César des nouveaux empires, il se laisse porter par les confettis, il fait la fête avec ciels qui s’amusent trop pour voir le mur se rapprocher.
Rainbow ass Fever n’est pas une alerte, c’est un hit.
Un tube insouciant, trop insouciant.
Jusqu’à ce que le son s’arrête."
Whoouuh whoouuh
Dance , come on , baby , dance , yeah , yeah , yeah
Whoouuh whoouuh Whoouuh whoouuh
ciel bleuuuuuuuuuuu ou bien rooooooose
arc en ciel et coeur sur voouuus !
Rainbow fever
On n’a pas peur
On danse partout
Pas peur du loup
Tout le monde est beau
Ou bien pourri
Tout est pareil
Tout l’ monde se vaut
J’ai plus d’cerveau
Je n’comprends plus
Tête de moineau
Ou trou du cul
Blanc ou bien noir
Droite ou bien gauche
C’est la même foire
Vive la débauche
Sur des grands chars
des Jules César
tous se chevauchent
cons comme des cloches
Un jour viendra
Tu comprendras
Qu’c’est pas danser
Qui t’ défendra
Quand tu n’ pourras
Plus être toi
Plus d’ défilé
Le loup t’ bouffera
Ton arc en ciel
il ou bien iel
ne t'protège pas
ne t'protège pas
Plus d’ GPA
Plus d’ PMA
Plus aucun droit
Mais beaucoup d’ droite
Tu n’ riras plus
Tu n’ danseras plus
Tu n’diras plus
si j’avais su
Tu l’as voulu
Et tu l’as eu
Le grand méchant loup
Dans ton cul.
Tu l’as voulu
Et tu l’as eu
Le grand méchant loup
Dans ton cul.
Tu l’as voulu
Et tu l’as eu
Le grand méchant loup
Dans ton cul
Dans ton cul
Dans ton cul uuuuh uuuuuh uuuuhhhh wouuuuhhh wouuuuhouhou


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