Il défraie la chronique : le fait divers
16e Festival de la radio et de l'écoute Longueur d'ondes
Lors de cette rencontre modéré par Olivier Barraud, journaliste, vous entendrez Julie Brafman, journaliste justice à Libération (elle a également travaillé comme enquêtrice puis réalisatrice à Faites entrer l’accusé), Anne-Claude Ambroise-Rendu, historienne et spécialiste d’histoire et de la justice et Jean-Philippe Deniau, responsable du service police justice de France Inter.
Miroir de nos angoisses, de nos fantasmes et de nos voyeurismes : le fait divers raconte-t-il en creux une société ?
Le fait divers est-il toujours le reflet hors norme de notre société ? Vol à l’arraché, meurtre, viol, décision de justice… Depuis plusieurs siècles, le récit de ces événements par des colporteurs sur les marchés dans un premier temps, puis dans des journaux papier ou audiovisuel depuis, reste un incontournable de la presse. À la fois passionnant, troublant, voire choquant, il apporte des clés pour mieux décrypter notre société. Est-il pour autant écrit et lu pour cette approche sociologique ? Est-ce que tout événement peut devenir potentiellement un fait divers ? Est-ce une affaire de récit, de contenus ? Le fait divers n’est-il pas porteur des signaux faibles expliquant notre rapport à la mort, notre résistance à l’ordre (social, juridique…), et une certaine fascination pour le crime avec la détresse humaine qui l’accompagne ?
Olivier Barraud, journaliste
Lors de cette rencontre modéré par Olivier Barraud, journaliste, vous entendrez Julie Brafman, journaliste justice à Libération (elle a également travaillé comme enquêtrice puis réalisatrice à Faites entrer l’accusé), Anne-Claude Ambroise-Rendu, historienne et spécialiste d’histoire et de la justice et Jean-Philippe Deniau, responsable du service police justice de France Inter.
Miroir de nos angoisses, de nos fantasmes et de nos voyeurismes : le fait divers raconte-t-il en creux une société ?
Le fait divers est-il toujours le reflet hors norme de notre société ? Vol à l’arraché, meurtre, viol, décision de justice… Depuis plusieurs siècles, le récit de ces événements par des colporteurs sur les marchés dans un premier temps, puis dans des journaux papier ou audiovisuel depuis, reste un incontournable de la presse. À la fois passionnant, troublant, voire choquant, il apporte des clés pour mieux décrypter notre société. Est-il pour autant écrit et lu pour cette approche sociologique ? Est-ce que tout événement peut devenir potentiellement un fait divers ? Est-ce une affaire de récit, de contenus ? Le fait divers n’est-il pas porteur des signaux faibles expliquant notre rapport à la mort, notre résistance à l’ordre (social, juridique…), et une certaine fascination pour le crime avec la détresse humaine qui l’accompagne ?
Olivier Barraud, journaliste
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