Jean-Michel Poupon et Bruno Cochard : deux ex-Sobrena
1- L’espoir, 3 fois ~20 minutes – 2012
Le 15 septembre 2011, François Meunier, PDG de la Société Bretonne de Réparation Navale (Sobrena) faisait état de pertes sèches et d’un carnet de commandes vide malgré un chiffre d’affaires de 50 millions en 2010. Débutait alors un sursis de plusieurs mois (toujours d’actualité à l’heure de ces lignes) pour 238 salariés. Débutait alors une lutte, avec une cabane Place de la Liberté à Brest, un bateau L’espoir II reconstruit pour l’occasion et un cahier bleu pour consigner le tout.
C’est justement à partir de ce cahier bleu et de cette étrave que Marie-Michèle Lucas a souhaité interviewer pour Oufipo deux ouvriers de la Sobrena, Jean-Michel Poupon et Bruno Cochard, pour qu’ils nous racontent leur lutte, leurs « espoirs », leur cahier, mais surtout leur métier et la dureté d’un quotidien imprévisible qu’ils ne conseillent que peu à leurs enfants… Même si de leurs récits, se dégage une certaine fierté finalement.
Portrait de deux hommes, l’un tôlier et l’autre logisticien, mais aussi portrait d’un savoir-faire à l’échelle démesurée, celui d’une vie, celui d’une ville…
Le 15 septembre 2011, François Meunier, PDG de la Société Bretonne de Réparation Navale (Sobrena) faisait état de pertes sèches et d’un carnet de commandes vide malgré un chiffre d’affaires de 50 millions en 2010. Débutait alors un sursis de plusieurs mois (toujours d’actualité à l’heure de ces lignes) pour 238 salariés. Débutait alors une lutte, avec une cabane Place de la Liberté à Brest, un bateau L’espoir II reconstruit pour l’occasion et un cahier bleu pour consigner le tout.
C’est justement à partir de ce cahier bleu et de cette étrave que Marie-Michèle Lucas a souhaité interviewer pour Oufipo deux ouvriers de la Sobrena, Jean-Michel Poupon et Bruno Cochard, pour qu’ils nous racontent leur lutte, leurs « espoirs », leur cahier, mais surtout leur métier et la dureté d’un quotidien imprévisible qu’ils ne conseillent que peu à leurs enfants… Même si de leurs récits, se dégage une certaine fierté finalement.
Portrait de deux hommes, l’un tôlier et l’autre logisticien, mais aussi portrait d’un savoir-faire à l’échelle démesurée, celui d’une vie, celui d’une ville…
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