Josef Schovanec : Être à l’Est
Où l’autisme n’est plus vu que comme un handicap mais aussi comme une autre structure de pensée.
Josef Schovanec est fier d’être autiste. Lui qui n’a parlé que vers l’âge de six ans est aujourd’hui docteur en philosophie et excellent orateur. Blagueur, il met facilement le public des conférences dans sa poche.
Au-delà des blagues, son témoignage est d’une grande importance car il montre bien que l’autisme n’est pas une limitation de capacité ou d’intelligence, mais plutôt un déplacement de celles-ci. Je n’arrive pas à boutonner ma chemise, et alors ? Je parle sept langues.
Josef Schovanec relativise ce que l’on considère comme des faiblesses. Les capacités dites normales, de la vie courante, si de nombreux autistes ne peuvent les réaliser, cela ne veut pas dire que les capacités plus développées leurs sont inaccessibles, bien au contraire.
L’auteur de Je suis à l’Est ! (éd. Plon, 2012) donnait cette conférence à la faculté Segalen à Brest le 17 avril 2014 et prenait un malin plaisir à démontrer à son auditoire qu’être autiste, c’est parfois bien mieux que de ne pas l’être, comme lorsqu’il nous raconte l’histoire de ce couple dont l’un des conjoints est autiste, et qui ne veut pas d’enfants de peur qu’ils soient non-autistes.
Josef Schovanec est fier d’être autiste. Lui qui n’a parlé que vers l’âge de six ans est aujourd’hui docteur en philosophie et excellent orateur. Blagueur, il met facilement le public des conférences dans sa poche.
Au-delà des blagues, son témoignage est d’une grande importance car il montre bien que l’autisme n’est pas une limitation de capacité ou d’intelligence, mais plutôt un déplacement de celles-ci. Je n’arrive pas à boutonner ma chemise, et alors ? Je parle sept langues.
Josef Schovanec relativise ce que l’on considère comme des faiblesses. Les capacités dites normales, de la vie courante, si de nombreux autistes ne peuvent les réaliser, cela ne veut pas dire que les capacités plus développées leurs sont inaccessibles, bien au contraire.
L’auteur de Je suis à l’Est ! (éd. Plon, 2012) donnait cette conférence à la faculté Segalen à Brest le 17 avril 2014 et prenait un malin plaisir à démontrer à son auditoire qu’être autiste, c’est parfois bien mieux que de ne pas l’être, comme lorsqu’il nous raconte l’histoire de ce couple dont l’un des conjoints est autiste, et qui ne veut pas d’enfants de peur qu’ils soient non-autistes.
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