Julien Cernobori : Chronique de l’infra-ordinaire
16e Festival de la radio et de l'écoute Longueur d'ondes
À la modération : Bertille Sindou-Faurie.
À 20 ans, Julien Cernobori découvre la radio. Il sèche les cours pour écouter, entre autre, les Portraits sensibles de Kriss. Et c’est là que tout commence.
Imaginons, vous attendez votre bus, vous croquez dans un sandwich en regardant le ciel, et au moment où vous vous apprêtez à refaire votre lacet, un micro se tend : « Vous mangez souvent en attendant votre bus ? ». Bizarre. Vous vous demandez qui est cet homme ? Et bien c’est Julien Cernobori.
Ce reporter et réalisateur a travaillé une quinzaine d’années à Radio France, puis à Binge Audio. Depuis des années maintenant il s’adonne avec brio à « l’exercice du sensible », en dressant des portraits d’inconnu.e.s, en creusant l’ordinaire.
D’ailleurs, à ce propos, il dit :
« Aujourd’hui je ne fais plus que ça, c’est devenu mon style et ma passion : interviewer des gens au hasard des rencontres, les saisir dans leur quotidien, sans faire de casting, capter la vie qui est partout autour de moi. Je me nourris de l’imprévu et j’ai le sentiment d’être au cœur des choses. Et c’est comme ça que j’adore vivre et exercer mon métier. »
À la modération : Bertille Sindou-Faurie.
À 20 ans, Julien Cernobori découvre la radio. Il sèche les cours pour écouter, entre autre, les Portraits sensibles de Kriss. Et c’est là que tout commence.
Imaginons, vous attendez votre bus, vous croquez dans un sandwich en regardant le ciel, et au moment où vous vous apprêtez à refaire votre lacet, un micro se tend : « Vous mangez souvent en attendant votre bus ? ». Bizarre. Vous vous demandez qui est cet homme ? Et bien c’est Julien Cernobori.
Ce reporter et réalisateur a travaillé une quinzaine d’années à Radio France, puis à Binge Audio. Depuis des années maintenant il s’adonne avec brio à « l’exercice du sensible », en dressant des portraits d’inconnu.e.s, en creusant l’ordinaire.
D’ailleurs, à ce propos, il dit :
« Aujourd’hui je ne fais plus que ça, c’est devenu mon style et ma passion : interviewer des gens au hasard des rencontres, les saisir dans leur quotidien, sans faire de casting, capter la vie qui est partout autour de moi. Je me nourris de l’imprévu et j’ai le sentiment d’être au cœur des choses. Et c’est comme ça que j’adore vivre et exercer mon métier. »
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