La filiation radiophonique de Kathleen Evin et Aurélie Charon
En radio comme ailleurs, les premières fois sont toujours intimidantes. Première chronique, première émission, premier direct, premier entretien avec un invité… Comment trouver sa voix ?
Pour s’entretenir avec elles : Medhi et Badrou, les anciens kids de Pascale Clark sur France Inter.
Au détour de rencontres, d’audace et de confiance réciproque, des femmes et des hommes de radio transmettent – parfois sans le savoir – de riches enseignements qui participent à l’évolution d’une carrière.
Pour le quatorzième festival de la radio et de l’écoute, Kathleen Evin et Aurélie Charon ont accepté de revenir sur cette filiation radiophonique, nourrie d’amitié et de reconnaissance mutuelle.
« A la radio on touche au futur : la phrase d’après, la minute d’après, l’inconnu vers lequel on va en direct. On ne sait rien de ce qui va arriver et pourtant ça va advenir et ça va être entendu. Ce sera bien ou pas. On aura des regrets. On aurait fait différemment, on se refera le film mille fois. On saura exactement ce qu’on aurait pu dire. La radio c’est croire à la minute d’après, aux nouveaux mots pas encore prononcés. Croire aux départs. Dans une époque incertaine, ça me donne fois en l’avenir. »
Pour s’entretenir avec elles : Medhi et Badrou, les anciens kids de Pascale Clark sur France Inter.
Au détour de rencontres, d’audace et de confiance réciproque, des femmes et des hommes de radio transmettent – parfois sans le savoir – de riches enseignements qui participent à l’évolution d’une carrière.
Pour le quatorzième festival de la radio et de l’écoute, Kathleen Evin et Aurélie Charon ont accepté de revenir sur cette filiation radiophonique, nourrie d’amitié et de reconnaissance mutuelle.
« A la radio on touche au futur : la phrase d’après, la minute d’après, l’inconnu vers lequel on va en direct. On ne sait rien de ce qui va arriver et pourtant ça va advenir et ça va être entendu. Ce sera bien ou pas. On aura des regrets. On aurait fait différemment, on se refera le film mille fois. On saura exactement ce qu’on aurait pu dire. La radio c’est croire à la minute d’après, aux nouveaux mots pas encore prononcés. Croire aux départs. Dans une époque incertaine, ça me donne fois en l’avenir. »
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