La précarité, un travail à temps plein
En Belgique, plus de deux millions de personnes courent un risque de pauvreté ou d’exclusion sociale, c’est-à-dire que leur revenu est inférieur au seuil de pauvreté. Difficulté à payer ses factures, logements insalubres, problèmes d’accès à l’emploi, soucis de santé, isolement : c’est le quotidien d’un.e Belge sur six.
La faute à qui ?
C’est la question que nous avons posé en filigrane à Céline Nieuwenhuys. Elle est Secrétaire générale de la Fédération des Services Sociaux. À l’approche des élections qui se sont tenues en juin, la Fédération a publié son mémorandum. Nous l’avons épluché pour tenter de comprendre ce qui fabrique la précarité et comment la prendre en charge.
Parmi les recommandations phares du mémorandum : « placer les inégalités au centre de la question environnementale ». Notre première question : est-ce à dire que l’écologie sans lutte des classes, c’est du jardinage ?
En Belgique, plus de deux millions de personnes courent un risque de pauvreté ou d’exclusion sociale, c’est-à-dire que leur revenu est inférieur au seuil de pauvreté. Difficulté à payer ses factures, logements insalubres, problèmes d’accès à l’emploi, soucis de santé, isolement : c’est le quotidien d’un.e Belge sur six.
La faute à qui ?
C’est la question que nous avons posé en filigrane à Céline Nieuwenhuys. Elle est Secrétaire générale de la Fédération des Services Sociaux. À l’approche des élections qui se sont tenues en juin, la Fédération a publié son mémorandum. Nous l’avons épluché pour tenter de comprendre ce qui fabrique la précarité et comment la prendre en charge.
Parmi les recommandations phares du mémorandum : « placer les inégalités au centre de la question environnementale ». Notre première question : est-ce à dire que l’écologie sans lutte des classes, c’est du jardinage ?
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