La rencontre - Faire avec les morts
Dialogue citoyen sur les Obsèques civiles
C’est la première fois qu’ils se rencontrent. Pour le moment, ils n’ont en commun que de s’être porté candidat sur la plateforme du dialogue citoyenpour participer à l’atelier sur les obsèques civiles : autant d’hommes que de femmes, avec une variété d’âge – de 17 à 81 ans – et habitant Nantes et d’autres communes de la métropole (Rezé, Saint-Herblain, Sainte-Luce-sur-Loire).
Ce sont les élus Pascal Bolo, Vice-président de Nantes métropole en charge des affaires générales et Elhadi Azzi, conseiller municipal Ville de Nantes qui lancent la démarche en présentant le mandat de participation. C’est parti pour quatre séances qui se dérouleront jusqu’à la fin juin 2023.
Il s’agit maintenant de faire connaissance. Chaque personne est venue avec un objet, une image, un vêtement qui évoquent son rapport aux défunts et aux obsèques. L’un d’eux témoigne : « J’ai perdu mon grand-père et ce soir, je porte un de ses pulls. Et puis j’ai un copain qui est mort à 25 ans suite une crise cardiaque, mais je n’ai pas pu être là pour lui dire adieu. C’est pour ça que je suis venu ce soir ». Certains ont eu une expérience des obsèques civiles, d’autres pas. Mais tous partagent l’idée que c’est un enjeu de service public.
C’est la première fois qu’ils se rencontrent. Pour le moment, ils n’ont en commun que de s’être porté candidat sur la plateforme du dialogue citoyenpour participer à l’atelier sur les obsèques civiles : autant d’hommes que de femmes, avec une variété d’âge – de 17 à 81 ans – et habitant Nantes et d’autres communes de la métropole (Rezé, Saint-Herblain, Sainte-Luce-sur-Loire).
Ce sont les élus Pascal Bolo, Vice-président de Nantes métropole en charge des affaires générales et Elhadi Azzi, conseiller municipal Ville de Nantes qui lancent la démarche en présentant le mandat de participation. C’est parti pour quatre séances qui se dérouleront jusqu’à la fin juin 2023.
Il s’agit maintenant de faire connaissance. Chaque personne est venue avec un objet, une image, un vêtement qui évoquent son rapport aux défunts et aux obsèques. L’un d’eux témoigne : « J’ai perdu mon grand-père et ce soir, je porte un de ses pulls. Et puis j’ai un copain qui est mort à 25 ans suite une crise cardiaque, mais je n’ai pas pu être là pour lui dire adieu. C’est pour ça que je suis venu ce soir ». Certains ont eu une expérience des obsèques civiles, d’autres pas. Mais tous partagent l’idée que c’est un enjeu de service public.
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