La revue de presse : un exercice de style
Comment synthétiser et retranscrire ces centaines d’informations qui nous arrivent chaque jour ?
Avec les journalistes Claude Askolovitch et Frédéric Pommier, journalistes à France Inter. Une séance modérée par Emmanuel Laurentin.
Nous vivons aujourd’hui dans une société remplie de titres, d’annonces, de notifications, jusqu’au point qu’il en devient compliqué de trier. Classer, choisir, hiérarchiser et en sortir le meilleur, c’est justement le métier de certains journalistes. Deux journalistes rompus à l’exercice Claude Askolovitch et Frédéric Pommier sont venus nous parler de la revue de presse telles qu’ils la pratiquent.
« Avant d’être radiophonique, la revue de presse fut d’abord une rubrique anonyme des quotidiens, permettant à l’honnête lecteur de confronter l’opinion de son propre journal avec celle des publications concurrentes. Mais le passage à l’oral radiophonique la transforma : une voix et une seule incarnait cette lecture matinale, glissant entre deux citations pique ou louange, saluant la phrase assassine d’un éditorial ou le reporter au long cours capable de fournir des images venues de l’autre bout du monde au lecteur du bar PMU de la place Clichy.»
Emmanuel Laurentin
Avec les journalistes Claude Askolovitch et Frédéric Pommier, journalistes à France Inter. Une séance modérée par Emmanuel Laurentin.
Nous vivons aujourd’hui dans une société remplie de titres, d’annonces, de notifications, jusqu’au point qu’il en devient compliqué de trier. Classer, choisir, hiérarchiser et en sortir le meilleur, c’est justement le métier de certains journalistes. Deux journalistes rompus à l’exercice Claude Askolovitch et Frédéric Pommier sont venus nous parler de la revue de presse telles qu’ils la pratiquent.
« Avant d’être radiophonique, la revue de presse fut d’abord une rubrique anonyme des quotidiens, permettant à l’honnête lecteur de confronter l’opinion de son propre journal avec celle des publications concurrentes. Mais le passage à l’oral radiophonique la transforma : une voix et une seule incarnait cette lecture matinale, glissant entre deux citations pique ou louange, saluant la phrase assassine d’un éditorial ou le reporter au long cours capable de fournir des images venues de l’autre bout du monde au lecteur du bar PMU de la place Clichy.»
Emmanuel Laurentin
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