L'affaire EKOMO ou le déni de centrafricanité
La représentativité centrafricaine à l’épreuve des miroirs étrangers déformants
depuis plusieurs jours, parce qu’elle s’est exprimée devant le Conseil de sécurité et que la Ministre des Affaires Étrangères n’a pas pu le faire, notre compatriote Kessy Ekomo est traitée de tous les noms, et reçoit toutes les vomissures. « Elle n’aurait pas qualité pour représenter les Centrafricains ». Voilà ce qu’on dit d’elle. Et d’ailleurs, ajoute-t-on, cette "seulement consultante de la MINUSCA", serait une « traitresse » et ne serait même pas Centrafricaine, mais camerounaise ». Comme on le voit, une campagne de déni de Centrafricanité !
Comment de telles inepties ont-elles pu être prononcées, et comment ont-elles pu être relayées ? La réponse est : par ignorance crasse et par mépris pour les Centrafricains. Les choses se doivent d'être rétablies
Akandji K.
depuis plusieurs jours, parce qu’elle s’est exprimée devant le Conseil de sécurité et que la Ministre des Affaires Étrangères n’a pas pu le faire, notre compatriote Kessy Ekomo est traitée de tous les noms, et reçoit toutes les vomissures. « Elle n’aurait pas qualité pour représenter les Centrafricains ». Voilà ce qu’on dit d’elle. Et d’ailleurs, ajoute-t-on, cette "seulement consultante de la MINUSCA", serait une « traitresse » et ne serait même pas Centrafricaine, mais camerounaise ». Comme on le voit, une campagne de déni de Centrafricanité !
Comment de telles inepties ont-elles pu être prononcées, et comment ont-elles pu être relayées ? La réponse est : par ignorance crasse et par mépris pour les Centrafricains. Les choses se doivent d'être rétablies
Akandji K.
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.