La série “Culte” créée par Matthieu Rumani et Nicolas Slomka est sortie sur Prime Vidéo il y a quelques semaines et relate la production de la première téléréalité française “Loft Story”.
C’est une série brillante aux ressorts scénaristiques fascinants et à l’esthétique soignée que Auréliane a dévoré en quelques jours sur les recommandations d’un ami. Le bouche à oreille a fait son effet.
Et c’est là, à travers le prisme de ce biopic qui traite de la télé-réalité, qu'Auréliane se pose des questions sur la notion de RÉEL dans les oeuvres artistiques et de divertissement.
De plus en plus d’oeuvres inspirées du réel voient le jour : le nombre de biopics se multiplient dans les salles et sur les plateformes, les documentaires criminels sur Netflix n’ont jamais eu autant de succès, le nombre d’essais publiés augmentent et même les vidéastes sur YouTube s’amusent à raconter des histoires et anecdotes réelles pour agripper leur auditoire.
Alors : La fiction pure est-elle devenue obsolète ? Peu rémunératrice ? Les imaginaires sont-ils en panne ? Les idées manquent-elles aux créatifs ? Est-ce que les oeuvres retraçant la réalité n’assouvissent pas une pulsion de curiosité malsaine ? Ou à l’inverse, l’humain a t-il besoin de s’appuyer sur des histoires réelles et tangibles afin de rétablir des vérités inconnues à ce jour ?
Et enfin, quels sont les dangers de ce réalisme abrupt qui inonde nos écrans et nos esprits ?
C’est ce que Auréliane va essayer de découvrir dans ce huitième épisode d’ETIKART.
La série “Culte” créée par Matthieu Rumani et Nicolas Slomka est sortie sur Prime Vidéo il y a quelques semaines et relate la production de la première téléréalité française “Loft Story”.
C’est une série brillante aux ressorts scénaristiques fascinants et à l’esthétique soignée que Auréliane a dévoré en quelques jours sur les recommandations d’un ami. Le bouche à oreille a fait son effet.
Et c’est là, à travers le prisme de ce biopic qui traite de la télé-réalité, qu'Auréliane se pose des questions sur la notion de RÉEL dans les oeuvres artistiques et de divertissement.
De plus en plus d’oeuvres inspirées du réel voient le jour : le nombre de biopics se multiplient dans les salles et sur les plateformes, les documentaires criminels sur Netflix n’ont jamais eu autant de succès, le nombre d’essais publiés augmentent et même les vidéastes sur YouTube s’amusent à raconter des histoires et anecdotes réelles pour agripper leur auditoire.
Alors : La fiction pure est-elle devenue obsolète ? Peu rémunératrice ? Les imaginaires sont-ils en panne ? Les idées manquent-elles aux créatifs ? Est-ce que les oeuvres retraçant la réalité n’assouvissent pas une pulsion de curiosité malsaine ? Ou à l’inverse, l’humain a t-il besoin de s’appuyer sur des histoires réelles et tangibles afin de rétablir des vérités inconnues à ce jour ?
Et enfin, quels sont les dangers de ce réalisme abrupt qui inonde nos écrans et nos esprits ?
C’est ce que Auréliane va essayer de découvrir dans ce huitième épisode d’ETIKART.
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.