Les auditions - Les rituels de l'adieu
Dialogue citoyen sur les obsèques civiles
« La mort, c’est un sujet qui concerne tout le monde mais sur lequel pourtant personne ne sait rien », s’étonne un participant de l’atelier citoyen à la pause. Si l’organisation des obsèques est très encadrée d’un point de vue légal, les pratiques et les attentes associées aux cérémonies évoluent. Dans un contexte où près de 40 % des funérailles sont aujourd’hui des crémations et où la demande de cérémonie civile augmente, tout est à (ré)inventer : Où ? Comment ? Avec quel maître de cérémonie ? Quand le décès survient, on pare souvent au plus urgent, dans l’émotion. Or selon une étude du CREDOC parue en 2016, 59% personnes endeuillées estiment que participer à une cérémonie a un impact positif sur le deuil.
C’est avec ces questions en tête que les participants et participantes de l’atelier ont pu auditionner des experts et expertes du secteur du funéraire. La première table-ronde a réuni Jean-Pierre Blivet : responsable des crématoriums de Nantes et Saint-Jean-de-Boiseau, délégation de service public attribuée à Omnium de Gestion et de Financement (OGF), Sophie Dronet, co-fondatrice de la Coopérative funéraire, agence de pompes funèbres et Yannick Danieau, responsable adjoint du secteur des cimetières de la Ville de Nantes. Il a été question de l’organisation de la cérémonie et du rôle de maître de cérémonie, ainsi que de la place du service public dans la gestion des obsèques.
« La mort, c’est un sujet qui concerne tout le monde mais sur lequel pourtant personne ne sait rien », s’étonne un participant de l’atelier citoyen à la pause. Si l’organisation des obsèques est très encadrée d’un point de vue légal, les pratiques et les attentes associées aux cérémonies évoluent. Dans un contexte où près de 40 % des funérailles sont aujourd’hui des crémations et où la demande de cérémonie civile augmente, tout est à (ré)inventer : Où ? Comment ? Avec quel maître de cérémonie ? Quand le décès survient, on pare souvent au plus urgent, dans l’émotion. Or selon une étude du CREDOC parue en 2016, 59% personnes endeuillées estiment que participer à une cérémonie a un impact positif sur le deuil.
C’est avec ces questions en tête que les participants et participantes de l’atelier ont pu auditionner des experts et expertes du secteur du funéraire. La première table-ronde a réuni Jean-Pierre Blivet : responsable des crématoriums de Nantes et Saint-Jean-de-Boiseau, délégation de service public attribuée à Omnium de Gestion et de Financement (OGF), Sophie Dronet, co-fondatrice de la Coopérative funéraire, agence de pompes funèbres et Yannick Danieau, responsable adjoint du secteur des cimetières de la Ville de Nantes. Il a été question de l’organisation de la cérémonie et du rôle de maître de cérémonie, ainsi que de la place du service public dans la gestion des obsèques.
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.