Les souvenirs pour garder un bout de voyage
Commerce d'objets souvenirs issus d'animaux sauvages
Dans cet épisode de Bulle Sauvage, diffusé sur la webradio Allô la Planète et animé par Audrey Teillet, nous plongeons dans le sujet délicat du commerce d'objets souvenirs fabriqués à partir d'animaux sauvages. Faciles à trouver sur les marchés du monde entier, ces objets peuvent sembler innocents, mais leur achat alimente un trafic destructeur pour la biodiversité.
Audrey aborde des exemples d'objets courants fabriqués à partir de parties d'animaux sauvages, comme l'ivoire, les cornes de rhinocéros, ou encore les carapaces de tortues. Le commerce de ces articles, bien que parfois illégal, persiste et continue de nuire à des espèces déjà menacées. Elle rappelle que si certains d'entre nous sont conscients de l'impact de l'achat d'ivoire, il existe des alternatives comme l'ivoire végétal, une solution écologique et respectueuse de l'environnement.
Un fait surprenant souligné dans cet épisode est le commerce des hippocampes, capturés par millions chaque année pour être utilisés dans la médecine traditionnelle ou vendus comme souvenirs séchés. Ce commerce affecte gravement les populations d'hippocampes, tout comme le marché des peaux et fourrures d’animaux, dont les sacs à main en peau de serpent ou les écharpes en laine d'antilope.
Audrey met également en lumière des objets qui peuvent sembler inoffensifs, comme les porte-clés avec des animaux vivants, vendus en Chine. Ces animaux, enfermés dans de petites poches en plastique, vivent dans des conditions cruelles et meurent rapidement après l'achat. Ce commerce cruel n'est pas toujours visible aux yeux des touristes, mais contribue à une souffrance animale silencieuse.
Audrey termine l’épisode en expliquant les réglementations comme la Convention de Washington (CITES), qui vise à protéger les espèces menacées à l’échelle internationale. Elle encourage les voyageurs à se poser les bonnes questions avant d'acheter des souvenirs : est-ce nécessaire ? Connaissons-nous vraiment l'origine de ces objets ? Et surtout, quel impact avons-nous sur la nature en tant que consommateurs ?
Dans cet épisode de Bulle Sauvage, diffusé sur la webradio Allô la Planète et animé par Audrey Teillet, nous plongeons dans le sujet délicat du commerce d'objets souvenirs fabriqués à partir d'animaux sauvages. Faciles à trouver sur les marchés du monde entier, ces objets peuvent sembler innocents, mais leur achat alimente un trafic destructeur pour la biodiversité.
Audrey aborde des exemples d'objets courants fabriqués à partir de parties d'animaux sauvages, comme l'ivoire, les cornes de rhinocéros, ou encore les carapaces de tortues. Le commerce de ces articles, bien que parfois illégal, persiste et continue de nuire à des espèces déjà menacées. Elle rappelle que si certains d'entre nous sont conscients de l'impact de l'achat d'ivoire, il existe des alternatives comme l'ivoire végétal, une solution écologique et respectueuse de l'environnement.
Un fait surprenant souligné dans cet épisode est le commerce des hippocampes, capturés par millions chaque année pour être utilisés dans la médecine traditionnelle ou vendus comme souvenirs séchés. Ce commerce affecte gravement les populations d'hippocampes, tout comme le marché des peaux et fourrures d’animaux, dont les sacs à main en peau de serpent ou les écharpes en laine d'antilope.
Audrey met également en lumière des objets qui peuvent sembler inoffensifs, comme les porte-clés avec des animaux vivants, vendus en Chine. Ces animaux, enfermés dans de petites poches en plastique, vivent dans des conditions cruelles et meurent rapidement après l'achat. Ce commerce cruel n'est pas toujours visible aux yeux des touristes, mais contribue à une souffrance animale silencieuse.
Audrey termine l’épisode en expliquant les réglementations comme la Convention de Washington (CITES), qui vise à protéger les espèces menacées à l’échelle internationale. Elle encourage les voyageurs à se poser les bonnes questions avant d'acheter des souvenirs : est-ce nécessaire ? Connaissons-nous vraiment l'origine de ces objets ? Et surtout, quel impact avons-nous sur la nature en tant que consommateurs ?
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