
Lorsque journalisme rime avec censure, plongée dans la Chine de Xi Jinping
Invité : Arnauld Miguet, correspondant à Pékin pour France Télévisions
La République Populaire de Chine se place loin, très loin dans le classement annuel de la liberté de la presse, établi par Reporters sans Frontière. On la trouve à la 177ème place sur 180, ne devançant donc que l’Érythrée, le Turkménistan et l’indéboulonnable Corée du Nord. Dans sa fiche sur la Chine, RSF précise d’ailleurs que « plus de 100 journalistes et blogueurs sont toujours derrière les barreaux » et rappelle que Liu Xiaobo, Prix Nobel de la Paix en 2017, est mort dans les prisons chinoises. L’ONG indique par ailleurs que la pandémie a permis à Xi Jinping et au Parti Communiste chinois d’étendre encore un peu plus la censure, notamment sur les réseaux sociaux.
Invité : Arnauld Miguet, correspondant à Pékin pour France Télévisions depuis 2016. Le journaliste et son preneur d’images, Gaël Carron, sont restés confinés à Wuhan pendant 133 jours.
La République Populaire de Chine se place loin, très loin dans le classement annuel de la liberté de la presse, établi par Reporters sans Frontière. On la trouve à la 177ème place sur 180, ne devançant donc que l’Érythrée, le Turkménistan et l’indéboulonnable Corée du Nord. Dans sa fiche sur la Chine, RSF précise d’ailleurs que « plus de 100 journalistes et blogueurs sont toujours derrière les barreaux » et rappelle que Liu Xiaobo, Prix Nobel de la Paix en 2017, est mort dans les prisons chinoises. L’ONG indique par ailleurs que la pandémie a permis à Xi Jinping et au Parti Communiste chinois d’étendre encore un peu plus la censure, notamment sur les réseaux sociaux.
Invité : Arnauld Miguet, correspondant à Pékin pour France Télévisions depuis 2016. Le journaliste et son preneur d’images, Gaël Carron, sont restés confinés à Wuhan pendant 133 jours.


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