« Si j’avais su dessiner, j’aurais fait de la bande dessinée. » Manque de bol, Marie Hélia dessine comme un pied ; c’est donc vers le cinéma qu’elle s’est tournée, le média artistique qui, dit-elle, touche le plus grand nombre de gens.
Engagée dès ses débuts, elle ne se rend pourtant pas tout de suite compte de la portée féministe de ses films. Elle qui a souvent été qualifiée de cinéaste féministe le revendique à présent avec fierté.
De ses premiers films, dont L’usine rouge, un documentaire sur les sardinières de Douarnenez, au plus récent Les chevalières de la table ronde qui raconte l’épopée des créatrices du planning familial finistérien, la place des femmes dans son œuvre s’est faite plus importante et surtout plus évidente. Marie Hélia n’imagine plus aujourd’hui faire un film sans mettre les femmes en première ligne.
« Si j’avais su dessiner, j’aurais fait de la bande dessinée. » Manque de bol, Marie Hélia dessine comme un pied ; c’est donc vers le cinéma qu’elle s’est tournée, le média artistique qui, dit-elle, touche le plus grand nombre de gens.
Engagée dès ses débuts, elle ne se rend pourtant pas tout de suite compte de la portée féministe de ses films. Elle qui a souvent été qualifiée de cinéaste féministe le revendique à présent avec fierté.
De ses premiers films, dont L’usine rouge, un documentaire sur les sardinières de Douarnenez, au plus récent Les chevalières de la table ronde qui raconte l’épopée des créatrices du planning familial finistérien, la place des femmes dans son œuvre s’est faite plus importante et surtout plus évidente. Marie Hélia n’imagine plus aujourd’hui faire un film sans mettre les femmes en première ligne.
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