Mon corps, drôle d’histoire, toi et moi…
J’suis pas toujours certaine de te connaître, te reconnaître…
On s’connecte, je m’inquiète, m’évertue à réduire les centimètres,
Upgrader l’applaudimètre.
Omettre l’alcoomètre…
Tout ça sans me compromettre.
Mon corps…drôle de danse toi et moi,
Je t’enlace, tu me lasses, je te désenlace…
Apprivoiser cette carcasse, de l’audace, badass mais pas bombasse…
Ca passe ou j’me casse et me fracasse la face sous les angoisses…
Mon corps…j’te retiens souvent…
Mais parfois j’aimerais te laisser aller dans le vent.
Mon corps, c’est l’amour-haine toi et moi…
Je t’apprivoise, esprit critique, mes humeurs s’entrecroisent et j’te toise…et ça m’nique…
Je suis sans cœur, sans pitié pour ma peau, ma substance,
Mon enveloppe, ma matière, barbaque, mine altière, ma souffrance…
Mon corps, viens, on s’en fout des diktats,
Ces préjugés qui se prélassent, solitude, désespoir et trépas.
Ces couillasses qu’ont des avis sans consistance,
Philosophie de la connerie, terrifiante abondance…
Mon corps, on les emmerde, les opinions, les regards de travers,
Les tourbillons de larmes, culpabilité, rage de vaincre et de vers,
Mon corps, viens on respire et on chante, et on se cale tranquillement,
Confortables… Le sourire qui transpire par les pores de ma peau,
Et le plaisir qui prend ses aises et qui plante son drapeau
Dans ma chair.
Dans ma chair.
Mon corps, drôle d’histoire, toi et moi…
J’suis pas toujours certaine de te connaître, te reconnaître…
On s’connecte, je m’inquiète, m’évertue à réduire les centimètres,
Upgrader l’applaudimètre.
Omettre l’alcoomètre…
Tout ça sans me compromettre.
Mon corps…drôle de danse toi et moi,
Je t’enlace, tu me lasses, je te désenlace…
Apprivoiser cette carcasse, de l’audace, badass mais pas bombasse…
Ca passe ou j’me casse et me fracasse la face sous les angoisses…
Mon corps…j’te retiens souvent…
Mais parfois j’aimerais te laisser aller dans le vent.
Mon corps, c’est l’amour-haine toi et moi…
Je t’apprivoise, esprit critique, mes humeurs s’entrecroisent et j’te toise…et ça m’nique…
Je suis sans cœur, sans pitié pour ma peau, ma substance,
Mon enveloppe, ma matière, barbaque, mine altière, ma souffrance…
Mon corps, viens, on s’en fout des diktats,
Ces préjugés qui se prélassent, solitude, désespoir et trépas.
Ces couillasses qu’ont des avis sans consistance,
Philosophie de la connerie, terrifiante abondance…
Mon corps, on les emmerde, les opinions, les regards de travers,
Les tourbillons de larmes, culpabilité, rage de vaincre et de vers,
Mon corps, viens on respire et on chante, et on se cale tranquillement,
Confortables… Le sourire qui transpire par les pores de ma peau,
Et le plaisir qui prend ses aises et qui plante son drapeau
Dans ma chair.
Dans ma chair.


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