
MWSYFAEB#07, Thierry Milhomme
rencontres mélomaniaques
Aujourd’hui , dans music won’t save you from anything except bankruptcy , nous partons à la rencontre de Thierry Milhomme . A l’inverse des autres interviewés de la série , Thierry est la première personne que je ne connaissais pas autrement que par l’intermédiaire des réseaux sociaux où je le vois poster régulièrement des vidéos musicales . Suffisamment régulièrement, pour que je me décide à lui envoyer un message, afin de lui faire part de ma volonté de le rencontrer pour ce projet d’ émission. Après quelques échanges, il est convenu d’un rendez-vous , chez lui , dans la vallée de la Ternoise.
Serait - ce l’effet des reportages sécuritaires à la télévision ou les multiples publicités pour nous vendre des alarmes ou autre caméras sur internet , je dois bien avouer que je suis un peu anxieux avant de sonner à la porte de sa maison. Cette anxiété est vite balayée par un accueil franc et sincère , qui me fait immédiatement regretter de m’être encore une fois fait berner par ces biais cognitifs dérivés d’un climat médiatico-politique anxiogène qui influe sur nos relations sociales au point de se refuser la simplicité d’une rencontre, le bonheur du partage d’expérience et la foi en autrui , que nous le connaissions ou pas .
Il aurait été bien dommage de se priver de cette rencontre , car avant même d’enclencher le bouton d’enregistrement du zoom , nous nous apercevons que nous avons des connaissances communes et qu’il paraissait finalement improbable que nous ne soyons jamais rencontrer auparavant .
L’interview s’engage très rapidement , Thierry se prête au jeu de celle-ci avec chaleur et sincérité , dans un espace-temps qui me fait oublier très vite que nous étions inconnus10 minutes auparavant . Nous clôturerons cette rencontre par un verre sur la terrasse de son splendide jardin , comme si nous nous connaissions depuis des années , démontrant s’il en était besoin , qu’au-delà des ses vertus mnésiques et émotionnelles que nous interrogeons ici , la musique est avant tout , un vecteur de rencontre, de partage et d’amitié .
Tout de suite, c’est music won’t save you from anything except bankruptcy , N°7 , avec Thierry Milhomme
Aujourd’hui , dans music won’t save you from anything except bankruptcy , nous partons à la rencontre de Thierry Milhomme . A l’inverse des autres interviewés de la série , Thierry est la première personne que je ne connaissais pas autrement que par l’intermédiaire des réseaux sociaux où je le vois poster régulièrement des vidéos musicales . Suffisamment régulièrement, pour que je me décide à lui envoyer un message, afin de lui faire part de ma volonté de le rencontrer pour ce projet d’ émission. Après quelques échanges, il est convenu d’un rendez-vous , chez lui , dans la vallée de la Ternoise.
Serait - ce l’effet des reportages sécuritaires à la télévision ou les multiples publicités pour nous vendre des alarmes ou autre caméras sur internet , je dois bien avouer que je suis un peu anxieux avant de sonner à la porte de sa maison. Cette anxiété est vite balayée par un accueil franc et sincère , qui me fait immédiatement regretter de m’être encore une fois fait berner par ces biais cognitifs dérivés d’un climat médiatico-politique anxiogène qui influe sur nos relations sociales au point de se refuser la simplicité d’une rencontre, le bonheur du partage d’expérience et la foi en autrui , que nous le connaissions ou pas .
Il aurait été bien dommage de se priver de cette rencontre , car avant même d’enclencher le bouton d’enregistrement du zoom , nous nous apercevons que nous avons des connaissances communes et qu’il paraissait finalement improbable que nous ne soyons jamais rencontrer auparavant .
L’interview s’engage très rapidement , Thierry se prête au jeu de celle-ci avec chaleur et sincérité , dans un espace-temps qui me fait oublier très vite que nous étions inconnus10 minutes auparavant . Nous clôturerons cette rencontre par un verre sur la terrasse de son splendide jardin , comme si nous nous connaissions depuis des années , démontrant s’il en était besoin , qu’au-delà des ses vertus mnésiques et émotionnelles que nous interrogeons ici , la musique est avant tout , un vecteur de rencontre, de partage et d’amitié .
Tout de suite, c’est music won’t save you from anything except bankruptcy , N°7 , avec Thierry Milhomme
Titres écoutés en fond sonore . En gras, les intermèdes musicaux
The house of love : the beatles and the stones
Bob Dylan : new morning
Grateful dead : trucking’
Joan Baez : East virginie
Golden earring : that day
James Brown : i’m black i’m proud
Canned heat : on the road again
Jimi Hendrix : foxy lady
Triangle : à cor et à cri
Ange : les longues nuits d’isaac
King crimson : 21 st century schizoid man including mirror
Téléphone : métro c’est trop
Starshooter : betsy party
The clash : london calling
Killer ethyl : j’tourne al fabrik
Bob Marley : stir it up
The rolling stones : Angie
The clash : guns of brixton
Gene Vincent : red blue jeans and a pony tail
Ac/dc : whole lotta rosie
Doctor feelgood : going back home
Jacques Higelin : chaud , chaud business show
Mc solaar : qui sème le vent récolte le tempo
Bernard Lavilliers : 15ème round
Alain Bashung : happe
Cream : strange brew
The clash : radio clash
Bernard Lavilliers : fensch vallée
Christian Olivier : dans le brasier à la neige
Noir désir : En route pour la joie
La playlist crève-coeur
Le dernier coup de coeur : Patti Smith en concert à Tilloloy
Le disque le plus groovy : Prince - purple rain
Le disque du soir : Gong - live
Le disque apéro : Charlélie Couture - poème rock
Le disque le plus triste : Noir désir
le disque passerelle : Peter Gabriel et son label real world
Le disque qu'on t'a fait découvrir : The rolling stones - goats head soup
Le disque que tu as redécouvert : Pink floyd- Animals
Le disque que tes parents auraient pu avoir : Jacques Dutronc - il est cinq heures, Paris s'éveille
Le disque le plus écouté : Bernard Lavilliers - T’es vivant


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