
Portrait Singulier 67 - Marie
Il y a quelques jours, Marie a reçu chez elle trois copines entrepreneures de longue date. Se réunir tous les deux-trois mois est un rituel de longue date entre elles.
Ce jour-là, coup de chance, le soleil est de la partie pour accompagner le déjeuner qui se passe alors dans le jardin.
Ces moments ensemble sont une occasion de discussions à cœur ouvert pour évoquer aussi bien leur business que leur vie personnelle. Depuis 10 ans qu’elles se connaissent, Marie a vu leurs évolutions, leurs questionnements, les impasses et les envolées. Bref, un terrain d’observation des cycles de nos vies.
Partageant le même genre de quotidien professionnel, elle peut aussi, à leurs côtés, se recalibrer à l’énergie de l’entrepreneuriat.
Ce moment suspendu avec ses amies lui rappelle à quel point les connexions humaines sont précieuses à ses yeux.
Pourtant, tout son début dans la vie active a été laborieux en la matière. Neuroatypique, on la qualifiait souvent de « trop » ou « pas assez ». Marie avait du mal à trouver les bons curseurs, à assimiler les codes sociétaux. De là naissaient la honte et la culpabilité d’être en décalage.
Jusqu’au moment où elle a su utiliser le cadeau de son hypersensibilité : un flair incroyable pour capter les gens sur la même fréquence qu’elle !
Aujourd’hui, c’est devenu son cheval de bataille : accompagner les femmes neuroatypiques pour passer de l’espace de la honte à celui de la sensibilité du cœur qui s’ouvre.
Mon invitée : Marie Meya - @marie.meya
Il y a quelques jours, Marie a reçu chez elle trois copines entrepreneures de longue date. Se réunir tous les deux-trois mois est un rituel de longue date entre elles.
Ce jour-là, coup de chance, le soleil est de la partie pour accompagner le déjeuner qui se passe alors dans le jardin.
Ces moments ensemble sont une occasion de discussions à cœur ouvert pour évoquer aussi bien leur business que leur vie personnelle. Depuis 10 ans qu’elles se connaissent, Marie a vu leurs évolutions, leurs questionnements, les impasses et les envolées. Bref, un terrain d’observation des cycles de nos vies.
Partageant le même genre de quotidien professionnel, elle peut aussi, à leurs côtés, se recalibrer à l’énergie de l’entrepreneuriat.
Ce moment suspendu avec ses amies lui rappelle à quel point les connexions humaines sont précieuses à ses yeux.
Pourtant, tout son début dans la vie active a été laborieux en la matière. Neuroatypique, on la qualifiait souvent de « trop » ou « pas assez ». Marie avait du mal à trouver les bons curseurs, à assimiler les codes sociétaux. De là naissaient la honte et la culpabilité d’être en décalage.
Jusqu’au moment où elle a su utiliser le cadeau de son hypersensibilité : un flair incroyable pour capter les gens sur la même fréquence qu’elle !
Aujourd’hui, c’est devenu son cheval de bataille : accompagner les femmes neuroatypiques pour passer de l’espace de la honte à celui de la sensibilité du cœur qui s’ouvre.
Mon invitée : Marie Meya - @marie.meya
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