Qu'est-ce que la "puissance" quand on est une femme ? par Mélanie Rémond
Comment reprendre son pouvoir ? La différence entre le yin et le yang
Mélanie Rémond est kinésiologue et énergéticienne, spécialisée dans l’accompagnement atypique pour les femmes hypersensibles, et/ou haut potentiel.
Elle nous parle du pouvoir des femmes, thématique de cette saison 2 des Cascadeuses.
Pour elle, il ne va pas de soi, parce qu'il est très relié au fait d’être soi. Les différents conditionnements auxquels nous sommes toutes soumises freinent cette reconnexion à nous-même. Elle nous parle notamment de la recherche de sécurité, qui nous empêche d'aller vers l’aventure ou l’exploration, voie qui nous ouvre véritablement à nous-même.
Dans cet épisode, Mélanie vous invite à aller regarder ce qui est sous la surface, au-delà des apparences, là où se trouve le véritable partage.
Elle partage aussi son éclairage et des pistes concrètes pour aider les femmes à se reconnecter à leur puissance intérieure.
En savoir plus sur Mélanie Rémond :
-
Instagram : https://www.instagram.com/melanieremond/
-
Les Super différentes : https://www.facebook.com/groups/3391425754202221/
-
Site Internet : http://www.kinesiologie13.com
Retrouvez la communauté des Cascadeuses sur Instagram : https://www.instagram.com/lescascadeuses_podcast/
Plus d'infos sur https://lescascadeuses.fr
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Vos commentaires et messages seront mis en avant sur Instagram 😉
Crédits :
Production et réalisation : Cindy Aunay (https://www.strategie-podcast.fr)
Ingénieur du son et sound design : Benjamin Roa (https://stationwoosh.fr)
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Dans cet épisode, Mélanie vous invite à aller regarder ce qui est sous la surface, au-delà des apparences, là où se trouve le véritable partage.
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Bio de Mélanie Rémond :
Au départ j’ai une formation très littéraire, hypokhâgne et khâgne, maîtrise de lettres. J’ai d’abord travaillé dans la communication artistique à Paris, puis j’ai passé le Capes de lettres et j’ai été prof de français à Marseille pendant 4 ans, et ensuite j’ai complètement bifurqué pour faire une formation en kinésiologie.
En parallèle, il y a une douzaine d’années, j’ai commencé à faire beaucoup, beaucoup de yoga, parfois jusqu’à 3 heures par jour, et j’ai suivi les enseignements
d’un maître Indien pendant 5 ans.
J’ai été élevée par des parents très égalitaires, mon frère devait lui aussi vider le lave-vaisselle et mettre la table. Ce qui était important pour eux était qu’on fasse un métier qui nous rende heureux. Il se trouve que c’est moi, la fille, qui aimait la littérature, mais je n’y ai pas été poussée. Je n’ai jamais été attirée par les maths et
les travaux manuels.
Dans le monde de mon enfance et de mon adolescence, ce n’était pas moins bien d’être une fille, et j’ai conscience que c’est une vraie chance d’avoir reçu cette
éducation. En même temps, ce côté égalitaire ne prend pas en compte les spécificités, la singularité du féminin et du masculin.
Eduquer des enfants de manière égalitaire, c’est souvent éduquer les filles « comme des garçons », avec les mêmes impératifs de performance et de compétition, et qui mettent le pouvoir à l’extérieur. Ce qui créé une forme de tension et de pression, puisque souvent le monde extérieur échappe à nos désirs et à notre volonté. Une grande partie de ce que je vais dire dans ce podcast est évidemment valable aussi pour les hommes, puisque nous avons tous en nous une part de masculin et une part de féminin, que l’on soit homme ou femme. Mais cela revêt une importance particulière pour les femmes.
C’est à la fin de la vingtaine que j’ai commencé à me questionner sur ce qui était différent dans le fait d’être une femme. J’avais l’impression qu’il y avait une
différence au-delà de l’anatomie qui n’était pas prise en compte, et j’en avais assez de devoir être « un homme comme les autres », performante et endurante, en
laissant de côté ma sensibilité et mon empathie. Cette manière d’avoir prise sur le monde me paraissait très « en surface ».
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