Radio Klatsch – Rencontres du documentaire et de la création radiophonique
15e Festival de la radio et de l'écoute Longueur d'ondes
Rencontres du documentaire, avec : Nathalie Singer, Alexandre Plank
« On s’assoit, on discute, et on refait le monde […]. J’aurais voulu qu’il y ait du café, mais ce n’était pas possible… »
Le dimanche 4 février 2018 au festival Longueur d’ondes, Alexandre Plank proposait une causerie sur table en zinc en compagnie de la compositrice, productrice, et vice-présidente de l’Université du Bauhaus à Weimar, titulaire de la chaire de radio expérimentale, Nathalie Singer.
Un petit-déjeuner spirituel tout en bonne humeur et enthousiasme, qui laisse apercevoir une radio allemande aventurière, bien vivante, et facétieuse.
L’un des grands projets portés aujourd’hui par la chaire de radio expérimentale, c’est la constitution d’une vaste collection d’archives radiophoniques à l’échelle européenne (de nombreuses œuvres sont d’ores et déjà libres d’accès sur le site Sonosphère conçu en partenariat avec Phonurgia Nova), et un travail d’accessibilité aux œuvres radiophoniques dans les musées, grâce à une installation itinérante qui fait appel aux technologies digitales. Il y a de l’officiel, il y a de l’officieux, pour que les productions radiophoniques ne tombent plus dans l’oubli comme un sucre qui se dissout dans un café-crème.
D’ailleurs, vous reprendrez bien une tasse ?
Rencontres du documentaire, avec : Nathalie Singer, Alexandre Plank
« On s’assoit, on discute, et on refait le monde […]. J’aurais voulu qu’il y ait du café, mais ce n’était pas possible… »
Le dimanche 4 février 2018 au festival Longueur d’ondes, Alexandre Plank proposait une causerie sur table en zinc en compagnie de la compositrice, productrice, et vice-présidente de l’Université du Bauhaus à Weimar, titulaire de la chaire de radio expérimentale, Nathalie Singer.
Un petit-déjeuner spirituel tout en bonne humeur et enthousiasme, qui laisse apercevoir une radio allemande aventurière, bien vivante, et facétieuse.
L’un des grands projets portés aujourd’hui par la chaire de radio expérimentale, c’est la constitution d’une vaste collection d’archives radiophoniques à l’échelle européenne (de nombreuses œuvres sont d’ores et déjà libres d’accès sur le site Sonosphère conçu en partenariat avec Phonurgia Nova), et un travail d’accessibilité aux œuvres radiophoniques dans les musées, grâce à une installation itinérante qui fait appel aux technologies digitales. Il y a de l’officiel, il y a de l’officieux, pour que les productions radiophoniques ne tombent plus dans l’oubli comme un sucre qui se dissout dans un café-crème.
D’ailleurs, vous reprendrez bien une tasse ?
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