# RADIO.LUCMICHEL/ IRANOSPHERE/ PRESS TV/ CENSURE : APRES RT, SPUTNIK ET LE GOUPE MULTIMEDIA LUC MICHEL, PRESS TV DANS LE COLLIMATEUR DES SANCTIONS EURO-AMERICAINES !
APRES RT, SPUTNIK ET LE GOUPE MULTIMEDIA LUC MICHEL, PRESSTV SANCTIONNEE: MUSELAGE DES MEDIAS EN EUROPE !
L’UE a sanctionné la chaîne PressTV ainsi que plusieurs responsables iraniens pour ce qu’elle appelle les « violations des droits » à la suite d’émeutes survenues en Iran avec l’appui des pays occidentaux. Lundi 14 novembre, l’Union européenne a imposé des sanctions à un certain nombre d’institutions et d’individus iraniens, y compris la chaîne anglophone d’information PressTV, pour des violations présumées des droits à la suite des récentes émeutes survenues dans le pays.
Compte tenu des efforts menés par PressTV pour contrer les faux récits diffusés par les médias occidentaux concernant les émeutes en Iran, comment peut-on analyser cette nouvelle série de sanctions ?
Arnaud Develay, juriste international, s’exprime sur le sujet.
PRESS TV DANS LE COLLIMATEUR DES SANCTIONS EUROPEENNES
L’UE a sanctionné la chaîne Press TV ainsi que plusieurs responsables iraniens pour ce qu’elle appelle les «violations des droits» à la suite d’émeutes survenues en Iran avec l’appui des pays étrangers.
L’Union européenne a imposé des interdictions de visa et des gels d’avoirs au ministre iranien de l’Intérieur Ahmad Vahidi, aux quatre membres de la police ayant été impliqués dans l’arrestation de Mahsa Amini, à de hauts membres du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), y compris ses commandants provinciaux, au commandant de la force terrestre de l’armée iranienne et à la chaîne de télévision publique Press TV, qu’elle accuse d’avoir diffusé “des aveux forcés de détenus”, selon un communiqué de l’UE.
Des experts estiment que les sanctions imposées à Press TV par l’UE, et plus tôt par le gouvernement canadien, visent à étouffer la liberté d’expression et les opinions alternatives. Ils ont également souligné le rôle joué par Press TV lors de récentes émeutes, la chaîne d’information ayant mené de gros efforts pour contrer les faux récits diffusés par les médias occidentaux concernant les émeutes en Iran.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a averti en octobre que Téhéran prendrait des mesures réciproques si l’Union européenne imposait des mesures restrictives contre la République islamique d'Iran à la suite des récentes émeutes dans le pays.
L’Iran a également annoncé à son tour des sanctions à l’encontre d’institutions et d’individus affiliés à l’Union européenne en raison de leurs “actions délibérées en faveur du terrorisme et des groupes terroristes”
LES ACCUSATIONS DE L’UE CONTRE PRESSTV SONT RIDICULES (MOHAMMAD MARANDI)
Selon Seyyed Mohammad Marandi, professeur à l'Université de Téhéran, les sanctions imposées par l'Union européenne à PressTV montrent que les régimes occidentaux ne tolèrent aucune voix alternative, malgré leurs fausses prétentions à la liberté d'expression. « Aucune de ces sanctions n’a d’impact, car tous les médias iraniens ont déjà subi des sanctions des régimes occidentaux », a-t-il souligné.
LIBERTE DE LA PRESSE: LES ÉTATS-UNIS SANCTIONNENT LES MEDIAS D’ETAT IRANIENS :
LE CHEF DE L’IRIB, LE CHEF DU SERVICE MONDIAL ET D’AUTRES RESPONSABLES
Dans une autre attaque éhontée contre la liberté de la presse, le gouvernement américain a imposé des sanctions, mercredi 16 novembre, aux hauts responsables de la radiotélévision d’État iranien, y compris le chef de l’organisation et le chef du Service international. Dans un communiqué, l’Office of Foreign Assets Control (OFAC), un organisme de contrôle financier du département américain du Trésor, a annoncé qu’il nommait six cadres supérieurs de la radiotélévision de la République islamique d’Iran (IRIB). Washington avait déjà imposé des sanctions à l’IRIB en 2013.
Le communiqué a prétendu que l’IRIB avait diffusé « des centaines d’aveux forcés de prisonniers iraniens, binationaux et internationaux en Iran ». Les sanctions se révèlent être un nouveau moyen de gérer un hold-up étatique.
Les sanctions visent le chef de l’IRIB, Peyman Jebeli, le chef de l’IRIB World Service et le PDG de la chaîne d’information télévisée de langue anglaise PressTV, Ahmad Norouzi, ainsi que quatre autres responsables et journalistes de l’IRIB.
Les analystes des médias estiment que ces nouvelles sanctions américaines contre les médias iraniens et les hauts responsables de l’IRIB surviennent alors que la Maison-Blanche a lamentablement échoué dans son projet de renverser l’establishment islamique iranien et d’installer un État vassal à sa place.
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APRES RT, SPUTNIK ET LE GOUPE MULTIMEDIA LUC MICHEL, PRESSTV SANCTIONNEE: MUSELAGE DES MEDIAS EN EUROPE !
L’UE a sanctionné la chaîne PressTV ainsi que plusieurs responsables iraniens pour ce qu’elle appelle les « violations des droits » à la suite d’émeutes survenues en Iran avec l’appui des pays occidentaux. Lundi 14 novembre, l’Union européenne a imposé des sanctions à un certain nombre d’institutions et d’individus iraniens, y compris la chaîne anglophone d’information PressTV, pour des violations présumées des droits à la suite des récentes émeutes survenues dans le pays.
Compte tenu des efforts menés par PressTV pour contrer les faux récits diffusés par les médias occidentaux concernant les émeutes en Iran, comment peut-on analyser cette nouvelle série de sanctions ?
Arnaud Develay, juriste international, s’exprime sur le sujet.
PRESS TV DANS LE COLLIMATEUR DES SANCTIONS EUROPEENNES
L’UE a sanctionné la chaîne Press TV ainsi que plusieurs responsables iraniens pour ce qu’elle appelle les «violations des droits» à la suite d’émeutes survenues en Iran avec l’appui des pays étrangers.
L’Union européenne a imposé des interdictions de visa et des gels d’avoirs au ministre iranien de l’Intérieur Ahmad Vahidi, aux quatre membres de la police ayant été impliqués dans l’arrestation de Mahsa Amini, à de hauts membres du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), y compris ses commandants provinciaux, au commandant de la force terrestre de l’armée iranienne et à la chaîne de télévision publique Press TV, qu’elle accuse d’avoir diffusé “des aveux forcés de détenus”, selon un communiqué de l’UE.
Des experts estiment que les sanctions imposées à Press TV par l’UE, et plus tôt par le gouvernement canadien, visent à étouffer la liberté d’expression et les opinions alternatives. Ils ont également souligné le rôle joué par Press TV lors de récentes émeutes, la chaîne d’information ayant mené de gros efforts pour contrer les faux récits diffusés par les médias occidentaux concernant les émeutes en Iran.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a averti en octobre que Téhéran prendrait des mesures réciproques si l’Union européenne imposait des mesures restrictives contre la République islamique d'Iran à la suite des récentes émeutes dans le pays.
L’Iran a également annoncé à son tour des sanctions à l’encontre d’institutions et d’individus affiliés à l’Union européenne en raison de leurs “actions délibérées en faveur du terrorisme et des groupes terroristes”
LES ACCUSATIONS DE L’UE CONTRE PRESSTV SONT RIDICULES (MOHAMMAD MARANDI)
Selon Seyyed Mohammad Marandi, professeur à l'Université de Téhéran, les sanctions imposées par l'Union européenne à PressTV montrent que les régimes occidentaux ne tolèrent aucune voix alternative, malgré leurs fausses prétentions à la liberté d'expression. « Aucune de ces sanctions n’a d’impact, car tous les médias iraniens ont déjà subi des sanctions des régimes occidentaux », a-t-il souligné.
LIBERTE DE LA PRESSE: LES ÉTATS-UNIS SANCTIONNENT LES MEDIAS D’ETAT IRANIENS :
LE CHEF DE L’IRIB, LE CHEF DU SERVICE MONDIAL ET D’AUTRES RESPONSABLES
Dans une autre attaque éhontée contre la liberté de la presse, le gouvernement américain a imposé des sanctions, mercredi 16 novembre, aux hauts responsables de la radiotélévision d’État iranien, y compris le chef de l’organisation et le chef du Service international. Dans un communiqué, l’Office of Foreign Assets Control (OFAC), un organisme de contrôle financier du département américain du Trésor, a annoncé qu’il nommait six cadres supérieurs de la radiotélévision de la République islamique d’Iran (IRIB). Washington avait déjà imposé des sanctions à l’IRIB en 2013.
Le communiqué a prétendu que l’IRIB avait diffusé « des centaines d’aveux forcés de prisonniers iraniens, binationaux et internationaux en Iran ». Les sanctions se révèlent être un nouveau moyen de gérer un hold-up étatique.
Les sanctions visent le chef de l’IRIB, Peyman Jebeli, le chef de l’IRIB World Service et le PDG de la chaîne d’information télévisée de langue anglaise PressTV, Ahmad Norouzi, ainsi que quatre autres responsables et journalistes de l’IRIB.
Les analystes des médias estiment que ces nouvelles sanctions américaines contre les médias iraniens et les hauts responsables de l’IRIB surviennent alors que la Maison-Blanche a lamentablement échoué dans son projet de renverser l’establishment islamique iranien et d’installer un État vassal à sa place.
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