Sur la réalisation avec Lionel Quantin
Lionel Quantin revient sur la précision qu’implique son métier, du lien intime entre le producteur et le réalisateur et sur l’impérieuse nécessité de rendre collective une œuvre radiophonique.
À Brest, le vendredi 7 février 2020, une rencontre entre Lionel Quantin et Marc-Antoine Granier, avec lequel il a travaillé, notamment sur le documentaire « Entre les mères », diffusé sur France Culture. Une séance modérée par Marc-Antoine Granier et imaginée en partenariat avec l’Addor.
En 1991, Lionel Quantin est à Aubenas. Il s’installe dans un des sièges bleus d’une petite salle de cinéma, et écoute le réalisateur et producteur d’émissions à France Culture, Jean Couturier, évoquer son rapport à la radio. De cette rencontre, naît une vocation. Lionel Quantin va devenir réalisateur pour la radio.
« La radio pouvait permettre ça. J’ai mis du temps à la trouver et pourtant tout était là mais je l’ignorais : les sons marquants de mon enfance ; mon rapport si fort à la musique ; l’impact d’une voix et de ses silences ; mes questions incessantes sur tout ; cette conscience du mystère profond de la vie que ce média peut approcher de manière tellement respectueuse car il laisse libre celui qui le reçoit. »
© Photo : Sébastien Durand
À Brest, le vendredi 7 février 2020, une rencontre entre Lionel Quantin et Marc-Antoine Granier, avec lequel il a travaillé, notamment sur le documentaire « Entre les mères », diffusé sur France Culture. Une séance modérée par Marc-Antoine Granier et imaginée en partenariat avec l’Addor.
En 1991, Lionel Quantin est à Aubenas. Il s’installe dans un des sièges bleus d’une petite salle de cinéma, et écoute le réalisateur et producteur d’émissions à France Culture, Jean Couturier, évoquer son rapport à la radio. De cette rencontre, naît une vocation. Lionel Quantin va devenir réalisateur pour la radio.
« La radio pouvait permettre ça. J’ai mis du temps à la trouver et pourtant tout était là mais je l’ignorais : les sons marquants de mon enfance ; mon rapport si fort à la musique ; l’impact d’une voix et de ses silences ; mes questions incessantes sur tout ; cette conscience du mystère profond de la vie que ce média peut approcher de manière tellement respectueuse car il laisse libre celui qui le reçoit. »
© Photo : Sébastien Durand
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