
Thibaut Wilk, de l’ergonomie à la réparation de machine à coudre.
Thibaut se retrouve en fac de Psychologie un peu par hasard, mais il découvre très vite que le sujet le passionne, en particulier le domaine de la psychologie sociale.Après une licence à Strasbourg il fait un premier master recherche à Grenoble, puis un
Thibaut se retrouve en fac de Psychologie un peu par hasard, mais il découvre très vite que le sujet le passionne, en particulier le domaine de la psychologie sociale.
Après une licence à Strasbourg il fait un premier master recherche à Grenoble, puis un second à Aix-en-Provence où il se spécialise en ergonomie.
Ayant envie de devenir scientifique depuis qu’il est tout petit il recherche une thèse.
Mais les mois passent et ses recherches restent infructueuses, il occupe son temps en faisant de la broderie et des missions courtes en ergonomie. Jusqu’au jour où le sujet idéal arrive, il postule et là c’est la dégringolade. L’entreprise lui signifie qu’à 26 ans, il est considéré comme trop vieux pour faire une thèse. Il est forcé et contraint de renoncer à son rêve, qu’il poursuit depuis sa première année de faculté.
Thibaut m’a reçu dans sa boutique, nouvellement ouverte, à Saint-Cannat, à côté d’Aix-en-Provence.
Entouré de machine à coudre, à vendre et à réparer, de fils et de tissus, Thibaut m’a raconté son parcours, les épreuves qu’il a surmonté, ceux qui l’ont aidé et conseillé.
Le deroulé
0min56 : Ce que je fais maintenant, Brodeur et réparateur de machine à coudre
2min56 : Les études de Psychologie
15min40 : La recherche de thèse et le « dernier clou dans le cercueil »
23min52 : Reprendre une boutique de machine à coudre ?!
Thibaut se retrouve en fac de Psychologie un peu par hasard, mais il découvre très vite que le sujet le passionne, en particulier le domaine de la psychologie sociale.
Après une licence à Strasbourg il fait un premier master recherche à Grenoble, puis un second à Aix-en-Provence où il se spécialise en ergonomie.
Ayant envie de devenir scientifique depuis qu’il est tout petit il recherche une thèse.
Mais les mois passent et ses recherches restent infructueuses, il occupe son temps en faisant de la broderie et des missions courtes en ergonomie. Jusqu’au jour où le sujet idéal arrive, il postule et là c’est la dégringolade. L’entreprise lui signifie qu’à 26 ans, il est considéré comme trop vieux pour faire une thèse. Il est forcé et contraint de renoncer à son rêve, qu’il poursuit depuis sa première année de faculté.
Thibaut m’a reçu dans sa boutique, nouvellement ouverte, à Saint-Cannat, à côté d’Aix-en-Provence.
Entouré de machine à coudre, à vendre et à réparer, de fils et de tissus, Thibaut m’a raconté son parcours, les épreuves qu’il a surmonté, ceux qui l’ont aidé et conseillé.
Le deroulé
0min56 : Ce que je fais maintenant, Brodeur et réparateur de machine à coudre
2min56 : Les études de Psychologie
15min40 : La recherche de thèse et le « dernier clou dans le cercueil »
23min52 : Reprendre une boutique de machine à coudre ?!
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