Dans le cadre de l’Année du Documentaire 2023, le ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, Longueur d’ondes, ADDOR et l’INA, ont mené une action pilote en faveur de la diffusion du documentaire sonore au sein du réseau culturel français à l’étranger.
Confectionné par Irène Omélianenko, documentariste et ex-conseillère aux programmes documentaires de France Culture, ce Voyage propose une traversée sonore du documentaire tel qu’il s’est constitué en France dès les débuts de la radiophonie et jusqu’à la fin du 20e siècle. Trente extraits se rencontrent et esquissent un paysage sonore de 1941 à 1996 comme une multitude de fenêtres ouvertes sur le monde et le temps.
Une myriade de capsules réalisées de Paris à la Mauritanie, en passant par la Bretagne, l’Orénoque ou le Mont Aigoual, incarnent l’essence même de la radiophonie et sa capacité à transporter l’auditeur•ice avec une facilité et une légèreté technique incomparables aux autres médias. Cette création d’Irène Omélianenko témoigne des émissions phares comme Magie et vérité des sons, Chasseurs de son, ou encore Nuits magnétiques, des antennes qui les ont portées mais aussi des figures qui ont initié et distillé la création documentaire sur les ondes.
Il sera possible de croiser entre autres : Paul Castan, Paul Claudel, Josette Colin, Gustave Eiffel, Lise Elina, Guy Erismann, René Farabet, René Jentet, Olivier Kaeppelin, Jean-Pierre Milovanoff, Kaye Mortley, Yann Paranthoën, José Pivin, Pierre Schaeffer, Marion Thiba.
Ainsi, cette palette de documentaires issus des fonds de l’INA se décline pour donner à entendre les voies (et les voix) multiples de cet art. Un art de la rencontre, de l’étonnement, du recueillement, de l’intime, de l’analyse et du sensible, qui accueille le réel sous toutes ses formes.
Ce travail ne prétend pas faire le tour de la création sonore, pas plus qu’on ne pourrait faire le bilan de la création littéraire. Mais, par sa sensibilité, son émotion, sa richesse sonore et sa diversité, il compte donner envie à ses auditeurs et auditrices d’écouter ces artistes, identifié•e•s dans un livret reprenant les noms de toutes les œuvres citées, et d’en découvrir de nouveaux.
Crédits
Recherche documentaire : Pascale Aubaret pour l’INA
Montage et mixage : Alain Joubert
Musique de générique : Éric La Casa
Une création d’Irène Omélianenko.
Les extraits sonores sont issus des fonds de l'INA©
Dans le cadre de l’Année du Documentaire 2023, le ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, Longueur d’ondes, ADDOR et l’INA, ont mené une action pilote en faveur de la diffusion du documentaire sonore au sein du réseau culturel français à l’étranger.
Confectionné par Irène Omélianenko, documentariste et ex-conseillère aux programmes documentaires de France Culture, ce Voyage propose une traversée sonore du documentaire tel qu’il s’est constitué en France dès les débuts de la radiophonie et jusqu’à la fin du 20e siècle. Trente extraits se rencontrent et esquissent un paysage sonore de 1941 à 1996 comme une multitude de fenêtres ouvertes sur le monde et le temps.
Une myriade de capsules réalisées de Paris à la Mauritanie, en passant par la Bretagne, l’Orénoque ou le Mont Aigoual, incarnent l’essence même de la radiophonie et sa capacité à transporter l’auditeur•ice avec une facilité et une légèreté technique incomparables aux autres médias. Cette création d’Irène Omélianenko témoigne des émissions phares comme Magie et vérité des sons, Chasseurs de son, ou encore Nuits magnétiques, des antennes qui les ont portées mais aussi des figures qui ont initié et distillé la création documentaire sur les ondes.
Il sera possible de croiser entre autres : Paul Castan, Paul Claudel, Josette Colin, Gustave Eiffel, Lise Elina, Guy Erismann, René Farabet, René Jentet, Olivier Kaeppelin, Jean-Pierre Milovanoff, Kaye Mortley, Yann Paranthoën, José Pivin, Pierre Schaeffer, Marion Thiba.
Ainsi, cette palette de documentaires issus des fonds de l’INA se décline pour donner à entendre les voies (et les voix) multiples de cet art. Un art de la rencontre, de l’étonnement, du recueillement, de l’intime, de l’analyse et du sensible, qui accueille le réel sous toutes ses formes.
Ce travail ne prétend pas faire le tour de la création sonore, pas plus qu’on ne pourrait faire le bilan de la création littéraire. Mais, par sa sensibilité, son émotion, sa richesse sonore et sa diversité, il compte donner envie à ses auditeurs et auditrices d’écouter ces artistes, identifié•e•s dans un livret reprenant les noms de toutes les œuvres citées, et d’en découvrir de nouveaux.
Crédits
Recherche documentaire : Pascale Aubaret pour l’INA
Montage et mixage : Alain Joubert
Musique de générique : Éric La Casa
Une création d’Irène Omélianenko.
Les extraits sonores sont issus des fonds de l'INA©
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