
Centrafrique au Coeur - Bê Afrika Ti Mbi Na Mo
Libres échanges sur la République Centrafricaine
Une série podcast proposée par Jean-François Akandji-Kombé pour échanger librement des sentiments, des analyses et des convictions concernant la République Centrafricaine. En partant du principe que nous, Centrafricains, ne sommes pas frappés par la fatalité ; que notre pays n’est pas condamné à produire le pire : les guerres, les massacres, l’arbitraire, la corruption, le mépris de l’être humain, la médiocrité, et j’en passe. En partant aussi du principe que nous, filles et fils de Centrafrique, nous avons les mêmes droits que les autres dans leur pays et à l’égard de leur pays : le droit à la paix, le droit de nous gouverner nous-mêmes, le droit à la liberté et à la dignité, le droit à l’épanouissement et, pour tout dire, le droit au bonheur. En partant, enfin, du principe que notre pays est capable de cette "révolution", qu’il est capable de produire le meilleur pour ses filles et pour ses fils ; mais aussi qu’il est capable de le faire avec ses filles et ses fils, qui sont sa première ressource, son premier gisement, un gisement de talents multiples jusqu’à présent ignorés.
Une série podcast proposée par Jean-François Akandji-Kombé pour échanger librement des sentiments, des analyses et des convictions concernant la République Centrafricaine. En partant du principe que nous, Centrafricains, ne sommes pas frappés par la fatalité ; que notre pays n’est pas condamné à produire le pire : les guerres, les massacres, l’arbitraire, la corruption, le mépris de l’être humain, la médiocrité, et j’en passe. En partant aussi du principe que nous, filles et fils de Centrafrique, nous avons les mêmes droits que les autres dans leur pays et à l’égard de leur pays : le droit à la paix, le droit de nous gouverner nous-mêmes, le droit à la liberté et à la dignité, le droit à l’épanouissement et, pour tout dire, le droit au bonheur. En partant, enfin, du principe que notre pays est capable de cette "révolution", qu’il est capable de produire le meilleur pour ses filles et pour ses fils ; mais aussi qu’il est capable de le faire avec ses filles et ses fils, qui sont sa première ressource, son premier gisement, un gisement de talents multiples jusqu’à présent ignorés.