"Quand la radio se fait jouvence, s’offre comme un média à nul autre pareil. Quand la radio s’affiche sous toutes ses coutures et se donne à écouter là où ne l’attend pas forcément. Quand la radio imprègne l’exceptionnel normal d’une semaine qui vibrionne depuis Brest, à l’ouest de tous les édens où le ouï-dire est de très haute intensité. La radio, c’est un monde en soi. Elle a son festival. Longueur d’ondes, en sa seizième édition, revendique plus que jamais son attachement à l’éclectisme tout en maintenant une ligne éditoriale articulant l’ancien et le nouveau, l’archive et le podcast, l’écoute et la voix, le débat et la performance. Ouvrir les portes du Quartz, du Mac Orlan, du Vauban, des Capucins et des Studios, c’est pénétrer dans un éphémère Musée des merveilles où le son n’est qu’un roi de papier et où la vie sourd là où on ne l’attend pas forcément. Sésame ouvre-toi : c’est tout ce que nous vous souhaitons."
"Quand la radio se fait jouvence, s’offre comme un média à nul autre pareil. Quand la radio s’affiche sous toutes ses coutures et se donne à écouter là où ne l’attend pas forcément. Quand la radio imprègne l’exceptionnel normal d’une semaine qui vibrionne depuis Brest, à l’ouest de tous les édens où le ouï-dire est de très haute intensité. La radio, c’est un monde en soi. Elle a son festival. Longueur d’ondes, en sa seizième édition, revendique plus que jamais son attachement à l’éclectisme tout en maintenant une ligne éditoriale articulant l’ancien et le nouveau, l’archive et le podcast, l’écoute et la voix, le débat et la performance. Ouvrir les portes du Quartz, du Mac Orlan, du Vauban, des Capucins et des Studios, c’est pénétrer dans un éphémère Musée des merveilles où le son n’est qu’un roi de papier et où la vie sourd là où on ne l’attend pas forcément. Sésame ouvre-toi : c’est tout ce que nous vous souhaitons."
