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  1. l'histoire d'un petit garçon qui court à la rencontre de Mme la Glace... Bonjour les enfants, Vous allez bien ? Ici vous allez faire la connaissance de Simon, un petit garçon de 5 ans, dit l’explorateur. Il y a deux choses qui l'intéressent à Simon : jouer et manger. Simon est très très gourmand, il aime tout, ou presque. Depuis tout petit, il goûte tout ou presque. L’été, Simon adore manger des glaces et tente de goûter tous les parfums. Un jour, alors qu’il se promène avec sa mère, il fait une rencontre inattendue. Au détour d’une ruelle, Simon aperçoit Madame la Glace qui pose fièrement sur le comptoir d’un chariot ambulant à glace. Il part à sa rencontre.
  2. L'histoire des frères mécènes de l'art français Cindy Sherman, Charlotte Perriand, Egon Schiele ou encore Jean-Michel Basquiat. La Fondation Louis Vuitton a l’habitude de présenter les plus grands noms de l’art moderne et contemporain et les plus grands collections privées au monde. En 2016/2017, elle avait accueilli la collection Chtchoukine. Icônes de l’art moderne.Celle de la collection Morozov est le second volet de cette série. On vous raconte ici le début de cette aventure orientale.
  3. Chef d'oeuvre de l'architecture De Stijl à Meudon C’est l’histoire d’une petite maison à Meudon, construite dans une rue en pente, une petite maison aux murs blancs, porte de garage jaune, porte du toit-terrasse rouge et garde-corps noir se livrant discrètement aux regards des promeneurs. Trois couleurs primaires qui rythment une façade blanche, en se limitant aux portes extérieures. Cette maison, c’est la Maison-atelier Van Doesburg, l’une des maisons d’architectes les plus célèbres de la période de l’entre-deux-guerres.
  4. Nouvelle exposition de l'artiste camerounais Pour sa exposition personnelle, à la Galerie Lelong à Paris, qui vient d'ouvrir ce 6 septembre 2021, l'artiste star camerounais présente une série d'oeuvres initiées à Busan en 2020. Ce projet, comprenant un ensemble de peintures bleues réalisées en 2020 et 2021, intègre une installation interactive inédite.
  5. Objets du quotidien, objets de désir Quand un musée, le MUCEM et un artiste star mondialement connu, Jeff Koons, font dialoguer objets du désir et objets du quotidien, cela donne une exposition inédite sur les secrets de l’art du maître du Kitsch art, loin des clichés reçus et des controverses attachés à l’artiste.
  6. Rencontre avec Alain Fleischer Ce dernier épisode est une rencontre avec l'artiste Alain Fleischer qui nous parle de son exposition, de la manière dont il l'a élaboré, comment il a apprivoisé l'espace, comment son oeuvre s'intègre dans les 2500m2 du 104. Il y dévoile ses rêveries, et invite le visiteur à plonger dans ses rêveries. Une manière intime de dévoiler les secrets et les coulisses de cette exposition hors norme.
  7. Voyage au cœur de la diversité du travail de l’artiste Dans cet épisode 6, le visiteur se retrouve au milieu d’œuvres monumentales qui semblent répondre à la monumentalité de La grande halle Aubervilliers, immense cathédrale de verre du 104. Cet espace, où l’air circule de toute part, constitue la dernière – ou la première étape de ce parcours d’exposition ouvert à tous les sens de circulation, à toutes les propositions d’errances. L’espace devient, en guise de conclusion, le théâtre d’un voyage au cœur de la diversité du travail de l’artiste. « Moi est un autre ». Cette proposition schizophrénique de l’artiste , loin du bric à brac et de la pratique du touche-à- tout, habite chacune de ses pratiques artistiques. La réunion de toutes ses oeuvres monumentales, anciennes ou recréées pour l’occasion, sont l’expression d’un condensé de son “aventure générale”. C’est alors un festival pour les sens. Des photographies, le cinéma au coeur d’un dôme géodésique, d’extraits de films d’Alain Fleischer issus des fictions, des documentaires, des films expérimentaux ou films d’artiste, son travail littéraire avec Première page, dernière page, la spectaculaire installation Canalisations, constituée d’une grande diagonale de meubles, transpercés par un tuyau qui transporte du son spécifiquement créé pour l’exposition. Risquons en fin de compte, que le déploiement de toutes ces œuvres, n’est qu’une folle tentative, une conversation secrète, pour faire communiquer entre eux les imaginaires.
  8. Le cinéma vu comme comme un art de la cimaise ! Dans cet épisode, la part belle est faite aux œuvres cinématographiques de l’artiste, une expression artistique que l’artiste explore depuis les années 1980. Depuis toujours en effet, Alain Fleischer entretient avec le cinéma - comme spectateur et comme artiste, un rapport très particulier. Peu sensible au cinéma qui filme de la parole, à quelques exceptions (Godard ou Duras pour leur questionnement du réel) amateur du corps burlesque, du corps érotique, et de la fantasmagorie, il poursuit, à travers une œuvre pédagogique, mais surtout expérimentale riche de centaines de films, une exploration du cinéma comme art plastique. Le cinéma vu comme comme un art de la cimaise si l’on peut dire. Dans l’atelier 5 du 104, nous avons rendez-vous avec l’artiste et non le réalisateur de fiction ou de films d’art, avec des œuvres qui sont le résultat de l’intime connexion entre l’art plastique et le cinéma. Parmi la 50e d’œuvres qu’il a réalisées dans ce registre, l’artiste en a sélectionné trois.
  9. La lumière serait-elle un passager clandestin ? Dans ce 4e épisode, le visiteur quitte les black box des précédents ateliers, pour s’aventurer dans une série de salles dont les œuvres exposées traitent de la transparence, de la lumière et qui mettent en exergue tout un travail original sur le verre. Alain Fleischer a choisi de l’utiliser pour sa transparence mais aussi comme réceptacle de traces, d’empreintes et comme médium de projection. L’espace règne en une scénographie ouverte permettant une déambulation ponctuée d'échappées lumineuses. L’artiste présente ici des installations et des photographies autour du reflet et de la lumière, mettant en scène tantôt des objets insolites tantôt des objets d’usage quotidien. Ainsi le visiteur tombera nez à nez avec des pièces emblématiques, parmi lesquelles l’Escalier sous la mer, Objets-miroirs, Cadres-miroirs, Miroirs-tiroirs, Argenteries et autres reflets, les Êtres de verres, Premier regard Dernier regard, qui sont des oeuvres-objets qui font miroirs et reflètent l’image. On y découvre aussi Les aventures de la lumière, puis la délicate et très poétique installation Premier Dernier regard et l’intrigante Je ne suis qu’une image. La lumière serait-elle un passager clandestin ? Un flux, un écho qui travaillerait avec la complicité d’une matière essentielle, extraordinaire, une matière aux mille visages, tour à tour, invisible, opaque, habillée en miroir ou paré de couleurs.
  10. Alain Fleischer est un « méca-gicien » – ou un « magi-canicien » de l’image ? Dans ce 3e épisode, le visiteur découvre que la photographie selon Fleischer, vit, bouge, palpite, libère du sens et de la forme. A ce titre, on pourrait dire avec une joie enfantine, que Fleischer, en admirateur probable de James Joyce, est un « méca-gicien » – ou un « magi-canicien » de l’image. Le visiteur du noir entre alors dans une suite de salles plongés dans le noir, en tête à tête avec une multitude d’œuvres et d’installations, plus ou moins monumentales, plus ou moins chargées en émotions et en souvenirs, Bout à bout, Autoportraits sous le masque, La vague gelée et le Golem, puis L’homme dans les draps, qui se présentent sous la forme de trois petites projections, au rythme décalé, dialoguent ainsi avec les séries photographiques Les hommes dans les draps, Le nu dans les draps, Nuit des visages, Les rayogrammes, et Plis et replis. Un ensemble qui rend aussi, par détour, hommage aux précurseurs de la photographie artistique expérimentale du début du XXe siècle, parmi lesquels Man Ray et László Moholy-Nagy. Entre révélation et effacement, l’œuvre, La nuit des images montre des portraits photographiques projetés de nuit dans des sites romanesques, tandis que Le regard des morts, réalisée et montrée en 1998 pour la célébration du 80ème anniversaire de l’Armistice de 1918, à Arras fait réapparaitre des centaines de regards de soldats disparus pendant la Grande Guerre.
  11. Photographier des images pour les projeter ! Le deuxième épisode du podcast emmène le visiteur dans les obsessions de l’artiste et ses recherches sur la projectabilité de l’image photographique et vidéographiques. Photographier des images pour les projeter ! D’emblée, plongée dans le noir, le visiteur-déambulateur sera au cœur de l’expérience. Et en de multiples occasions, il devra participer à l’œuvre pour en avoir la « révélation » - au sens photographique et métaphysique du terme. Grâce à des dispositifs plus ou moins élaborés, où les jeux de miroirs jouent un rôle essentiel, le visiteur est transporté au cœur de l’univers de l’artiste, au centre de ses recherches sur l’image photographique, révélée, réfléchie, projetée, en mouvement où le temps échappe à l’instant. Les principales œuvres comme Voyage du Brise-glace, Autant en emporte le vent et enfin A la recherche de Stella, se concentrent et questionnent sans relâche l’idée de projectabilité d’une image photographique. Cette image, il la suit à la trace, la fragmente, la déconstruit, la rend voyageuse, et même sonore mais toujours en mouvement pour lui donner une nouvelle dimension. C’est ainsi la question du transfert des images, à la fois dans le temps et dans l’espace (sur un autre objet, par exemple) qui est au cœur de cette première série d’oeuvres.
  12. Une plongée sonore dans l’œuvre et la déambulation imaginée par l’artiste La voix que les visiteurs vont de suite entendre dans ce premier épisode est celle d’Alain Fleischer, photographe, cinéaste, artiste plasticien, écrivain, fondateur, et directeur de l’école du Fresnoy qui ouvre L’Aventure générale, une importante exposition au 104 du 10 octobre au 6 décembre 2020. En partenariat avec le 104, Pablo a réalisé son premier podcast de visites d’expos pour cette exposition. Composé de 6 épisodes d’une durée globale de 40mn, ils permettront aux visiteurs de passer de salle en salle, à travers un parcours ouvert et libre, qui n’est ni chronologique, ni thématique, permet de vivre l’exposition à son rythme, et laisse accessibles les chemins de traverses. Chaque épisode se veut une immersion sonore dans l’œuvre et la déambulation imaginée par l’artiste. Ce premier épisode révèle l’univers dans lequel le visiteur va être plongé. Une plongée en immersion totale, fascinante, dans son monde secret. Telle une invitation à une promenade onirique, à l’aventure et au rêve, elle propose de remonter le cours d’une œuvre plurielle de cet inépuisable voyageur dans les domaines de l’art, de la photographie, du cinéma, de la littérature, un voyageur qui explore sans relâche l’invisible, ce qui ne se voit pas, et qui est pourtant bien là.
  13. L'exposition événement au CENTQUATRE, à Paris Chaque artiste a un univers qui génère et nourrit son œuvre. Celui d’Alain Fleischer est peuplé de visages, de corps, d’objets, d’animaux. Images et sons mêlés au cœur d’espaces traversés d’ombres et de lumières. Entrer dans son monde (photographique), c’est se laisser happer par la mécanique de l’illusion, y rencontrer des dizaines, des centaines de personnes que le regard du spectateur transforme en personnages. Le découvrir au fil de son exposition, « L’Aventure générale » au 104, c’est accepter de vivre une expérience sensorielle inédite. Vous êtes prêt ? Ainsi « L’Aventure générale » s’écoute et se visite dans une posture d’émerveillement, aux côtés d’un artiste saltimbanque qui interroge plus le visible que le réel, un bonimenteur de formes, un mécanicien de l’illusion. A écouter et à visiter à partir du 10 octobre !
  14. Écouter pour mieux déguster ! Bonjour les enfants, Vous allez bien ? Ici vous allez faire la connaissance de Simon, un petit garçon de 5 ans, dit l’explorateur. Il y a deux choses qui l'intéressent à Simon : jouer et manger. Je suis sûre que c’est pareil pour vous. Simon est très très gourmand, il aime tout, ou presque. Depuis tout petit, il goûte tout et il adore aider ou faire la cuisine avec sa maman ou son grand-père. Simon adore apprendre comment pousse un légume, comment on fait une tarte aux épinards (beurrrk), comment on devient pâtissier ou cuisinier. Il aimerait savoir quelle est la meilleure recette de pâtes, pourquoi on est obligé de prendre un petit déjeuner, ou encore pourquoi il y a toutes ces règles ennuyeuses quand on mange. Il pose plein de questions et aime rencontrer tout un tas de gens. Alors vous voulez en savoir plus ? Savoir qui il rencontre, découvrir son copain Elie le brocolis, ou comment il a écrasé Agathe, la tomate sans faire express, etc… Vous êtes prêt ? Alors bougez pas, tendez l’oreille, ça va commencer !
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