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Maëvane

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  1. 1er épisode des « vanités partagées » : des épisodes d'échanges avec des artistes et des entrepreneuses que j'admire. Dans cet épisode, j'accueille LEM, distillatrice de l’être, auteure, artiste de la parole. Nous avons échangé sur nos parcours de vie et artistiques avec beaucoup de naturel. Par ordre d’apparition : © Extrait de « La Môme », titre à retrouver sur toutes les plateformes de téléchargement. Paroles : Maëvane Royer Composition : Maëvane Royer Arrangements : Sylvain Picart et Estienne Rylle © « L’enfant sans défense » par LEM #2 LEM.pdf
  2. 1er épisode des "podcasts abymés" : un podcast dans l'podcast où l'on parle, avec Florence, au-delà de la résilience ! Dans cet épisode, on a chatté ambition, plaisir et lien - entre autres ! Je retiendrai cette phrase : "On ne fait jamais aussi bien ce qu'on est" - Florence Dell'Aira © Extrait de "Pirouette cacahuète", titre à retrouver sur toutes les plateformes de téléchargement. Paroles : Maëvane Composition : Maëvane Arrangements : Sylvain Picart et Estienne Rylle Florence ouvre le bal avec un entretien durant lequel elle va notamment nous parler de son podcast, « Restez dans le Flow », lancé il y a environ deux ans et demi, et que l’on peut retrouver sur toutes les plateformes de streaming et de téléchargement. Dans la description de son podcast, on lit « Je suis Florence Dell’Aiera et je veux dédiaboliser les traumatismes parce que je suis la preuve qu’on peut s’en sortir, qu’on peut aller vers le haut et vivre plutôt que survivre ». Il est organisé par thématiques : « Les temps forts de ma vie », « Petites histoires extraordinaires », « Le droit de... », « Parlons thérapie », « Et la vie pro dans tout ça ? » Pour l’anecdote, je l’ai découvert au début de mon parcours de reconstruction par le biais d’une rencontre avec Cécile Dayan, qui a participé à l’épisode 5, dans lequel il est question d’écriture, de mémoire traumatique et de sublimation, et que je vous invite d’ailleurs à aller écouter. Ce podcast, je l’ai écouté avec soif, il m’a beaucoup aidée dans mon parcours, et c’est notamment ce pourquoi j’avais envie d’en parler aujourd’hui et je suis honorée qu'elle soit ma première invitée. Voici les questions auxquelles Florence répond dans cet épisode : 1) Qu’est-ce qui t’a donné envie de lancer un podcast ? Pourquoi as-tu privilégié ce médium-là? 2) J’ai lu que ta principale ambition au départ était l’amusement. T’amuses-tu toujours à chaque épisode et à chaque moment du processus créatif ? 3) Y a-t-il eu un moment où tu as eu d’autres ambitions pour ce podcast ? Comment as-tu fait pour que tes épisodes arrivent jusqu’aux oreilles de tes auditeurs, pour trouver ton audience? 4) Au delà du sujet de la résilience, quel est le point commun qui rassemble tous tes invités ? 5) Tu m’as dit être « au-delà de la résilience » et cette expression m’a interpelée, comme un appel. C’est comment de l’autre côté ? 6) Peux-tu nous parler de ce que tu n’avais pas prévu quand tu as lancé ton podcast et qui t’a agréablement surprise, à mesure que tu réalisais tes épisodes? 7) Quelle sont les principales difficultés, aussi bien techniques, émotionnelles, organisationnelles, que tu as dû surmonter dans la réalisation de ce projet ? 😎 Y a-t-il des erreurs que tu es contente d’avoir faites car elles t’ont permis d’apprendre ? 9) Quel conseil clé donnerais-tu à quelqu’un qui, comme moi, souhaite lancer son podcast ? 10) Quels sont tes projets à venir ?
  3. Où il est question d'acceptions et d'acceptation. Qu'est-ce, au fond, qu'une ambition? Pourquoi est-ce primordial de lui accorder l'importance qu'elle mérite? Comment lui donner plus de place? Voici les questions auxquelles je vais fastueusement répondre dans cet épisode. Ambitio, ambitionis, mot féminin. Et féminine, l’ambition l’est, pour sûr, à en croire les nombreux podcasts qui se multiplient à ce sujet : « L’ambition au féminin », « femme ambitieuse » ou encore « C’est qui la boss ? » Alors, quel est l’intérêt d’en créer un supplémentaire ? Tout simplement, celui de faire mien ce sujet, pour qu’il devienne vôtre et parce que je crois profondément dans le fait que plus il y aura de voix qui s’élèvent, plus la diversité sera reconnue et entendue. Vous écoutez Maëvanités, le podcast frivole autosatisfait. Sans vouloir me vanter, il a pour non-modeste ambition d’aider tout un chacun/toute une chacune à renouer avec la sienne. On y cause passage du temps et passions humaines, écoféminisme et résilience, le tout parsemé de douces musiques actuelles. Un cocktail avec prétention de ce qui nous remplit et flatte nos orgueils. Puisque cet épisode est le premier d’une longue série, laissez-moi me présenter. Je suis Maëvane, professeure des écoles le jour, autrice-compositrice-interprète la nuit et, quand il me reste un peu de temps, j’entreprends des tas de projets, à commencer par celui de venir vous parler à l’oreille. Des ambitions, on en a tous, quand on est enfant. Je le vois auprès de mes élèves : quand ils seront grands ils seront dentiste, ils pourront se piercer le nez, voir leurs copains quand ça leur chante et chanter quand ça leur plait. Et puis, quand on grandit, des choses inattendues prennent le dessus : le regard des gens, le travail qui n’en finit plus, les devoirs familiaux qui s’imposent, que l’on s’impose. L’impression de pouvoir choisir s’amenuise à mesure que passe le temps. Pourtant, du temps, on en a, quand on décide de devenir sa priorité et d’accorder à ce qui nous tient à coeur la place centrale. Voici une image que j’affectionne particulièrement. Imaginez desballes de golf, qui représentent les choses importantes: votre famille, vos enfants, votre santé, vos amis, vos passions favorites – les choses qui comblerait toujours votre vie même si tout le reste était perdu. Les cailloux représentent les autres choses qui comptent comme votre travail. Le sable, c’est tout le reste – les petites choses. Si vous mettez le sable dans le pot en premier il n’y a plus de place pour les cailloux ou les balles de golf. Il en va de même pour la vie. Si vous passez tout votre temps et dépensez votre énergie sur les petites choses, vous n’aurez jamais de place pour les choses qui sont importantes pour vous. Ce podcast est un caillou auquel je me lance le défi d’accorder assez d’importance pour qu’il grossisse et, qui sait, devienne un jour une balle de golf ? Car le lien, pour le moment invisible, que je compte tisser avec vous, pourrait bien se révéler un précieux fil d’or. Pour le moment, patience, et revenons à nos moutons, ou plutôt, à nos ambitions. L’un des sens premiers de ce mot, quand on remonte à l’origine de notre langue, est le désir d’atteindre à la gloire, au pouvoir, ce qui lui a valu d’être moquée, attaquée. C’est vrai, quoi ? C’est ridicule de tourner autour du pot dans le seul but d’obtenir les suffrages de quelqu’un. C’est quoi ces gens qui voudraient que le monde tourne autour d’eux alors qu’il a déjà bien du mal à tourner tout court. Le deuxième sens, c’est le faste, la pompe, la magnificence. Petite, ça m’a toujours fait rêver. Ça continue d’ailleurs . Tout ce qui brille, tout ce qui fait star, ça en jette, non ? Parce qu’on n’est pas que des merdes, ou, si on n’est qu’des p’tites poussières, on est des p’tites poussières d’étoile, et ça, c’est pas rien. Le troisième sens, qui s’est un peu perdu aujourd’hui, c’est l’action d’entourer, de s’entourer de gens, et c’est ce que je compte faire à travers ce podcast. Entrer en connexion avec des âmes sœurs et frères, qui auraient, non seulement envie de m’entendre, mais aussi envie de venir à leur tour donner de la voix, dans un échange enrichissant. Voilà donc posées mes trois principales ambitions pour ce podcast. Si cet avant-goût vous a plu, pensez à le partager, à mettre un pouce en l’air, 5 étoiles sur Apple podcast et à vous abonner à l’Instagram. Vous pouvez aussi partager vos questions ou vos idées sur l’ambition en commentaire. J’y répondrai lors d’un prochain épisode. Merci d’avoir pris le temps de m’écouter et à très vite sur Maëvanités.
  4. Le podcast frivole autosatisfait Sans vouloir me vanter, ce podcast a pour non-modeste ambition d’aider tout.e un.e chacun.e à renouer avec la sienne. On y cause passage du temps et passions humaines, écoféminisme et résilience, le tout parsemé de douces musiques actuelles. Un cocktail avec prétention de ce qui nous remplit et flatte nos orgueils.
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